
Le Programme est financé par le Fonds international de développement agricole (FIDA), le Fonds pour l’environnement mondial (FEM) et le gouvernement pour un coût estimé à 30 milliards de Fcfa.
à cet effet, la 2è session du Comité technique de coordination s’est déroulée, hier, au siège de la Cellule de planification et de la statistique du secteur du développement rural (CPS).
Le coordinateur national du Projet, Moussa Camara, a présenté la métrologie ayant abouti au choix des localités d’intervention. En la matière, le Comité technique de coordination a, pour mener à bien ses travaux, procédé à un ciblage géographique des localités d’intervention (communes et villages), a-t-il déclaré.
Selon lui, les critères de choix ont privilégié le niveau de pauvreté et de densité humaine élevés, l’effectif de bovins, la disponibilité en eau (pluviométrie et productivité des aquifères) et l’état de dégradation des ressources naturelles. Ainsi, le programme a ciblé 21 cercles des Régions de Kayes, Sikasso, Koulikoro et Ségou.
Il a également, lors de cette phase, visé 150 nouvelles communes d’intervention (en plus des 36 communes touchées par l’agro-sylvo-pastoralisme en Afrique de l’Ouest (ASAP) et 1.250 villages d’intervention. On a aussi tenu compte des mêmes critères pour le choix des 21 cercles concernés, a précisé le coordinateur national du Projet. Il a ajouté que les résultats obtenus ont été validés par la coordination et les acteurs locaux.
Les réalisations font état d’un taux de réalisation de 22,1% obtenu à Ségou, 17,1% à Koutiala, 17,1% à Kita, 19,1% à Sikasso, 20,1% à Bougouni, 27,1% à Koulikoro, 9,6% à Dioïla et 5,3% à Kayes.
Le Projet Merit, lancé en janvier dernier pour une durée de 6 ans, œuvre pour le renforcement de la résilience des producteurs face aux effets du changement climatique.
Cela en menant des activités visant à promouvoir une exploitation judicieuse des énergies renouvelables (bio énergies, énergie solaire), à installer des périmètres maraîchers alimentés par l’énergie solaire et à diminuer la coupe de bois à travers la diffusion des bioénergies. Il s’agit également d’œuvrer pour l’amélioration de la productivité des sols et subséquemment de là production et de la productivité agricole.
Kadiatou OUATTARA
Rédaction Lessor
Semoirs, charrues de labour, pièces de rechange des tracteurs sont fabriqués par nos artisans. La plupart de ces équipements sont vendus dans les zones de production comme Kita, Sikasso, Bougouni ou Koutiala. Certains fabricants arrivent aussi à écouler leurs produits dans des pays voisins.
Placée sous le thème : « Jeunesse engagée : apprendre et innover pour relever les défis de l’employabilité des jeunes du Mali », la 16ᵉ convention groupée de la zone 4 (Z4) de la Jeune Chambre Internationale (JCI) du Mali s’est tenue samedi dernier, au Centre de formation des collectiv.
Ils sont 512 déplacés provenant des régions les plus affectées par la crise sécuritaire à trouver refuge au Centre Mabilé, au cœur de la capitale malienne. Bien qu'insuffisant, le soutien des acteurs humanitaires locaux et internationaux réconforte ces sinistrés Situé en Commune VI du D.
5.000 emplois verts potentiels à identifier, trois propositions de politiques publiques à rédiger et un guide sectoriel à produire. Ce sont quelques objectifs phares du projet «Initiative pour promouvoir l’économie verte et la création d’emplois verts au Mali», officiellement lancé, mer.
Le constat a été fait par le ministre des Mines, Amadou Keïta, qui a visité les lieux la semaine dernière.
La 5è session du comité de pilotage du Programme de développement de la zone spéciale de transformation agro-industrielle des Régions de Koulikoro et péri-urbaine de Bamako (PDZSTA-KB) s’est tenue, hier, dans les locaux du ministère de l’Agriculture..