
L’écrasante moitié est acheminée sur les marchés urbains comme Bamako et la partie restante est destinée aux commerçantes locales. Nous étions là quand elles sont venues avec des gros paniers pouvant contenir plus de 20 kilos. Les paysannes de Dio s’échinent à longueur de journée à faire le commerce de la papaye. Pour assurer la pitance de leur famille, elles ne comptent sur personne encore moins sur des maris qui n’en ont cure.
Au premier chant du coq, ell...
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