
Quatre mois après sa réélection pour second mandat, le président français, Emmanuel Macron se rend ce jeudi en Algérie pour une visite « officielle et d'amitié » de trois jours. Un séjour sous haute tension diplomatique pour tenter d’apaiser les relations entre les deux pays et relancer les partenariats économiques au point mort. Ainsi, le chef de l'État français se rend pour la deuxième fois de son mandat en Algérie du 25 au 27 août, répondant favorablement à l'invitation du président algérien Abdelmadjid Tebboune. Une longue visite officielle de trois jours et deux nuits qu'il devrait passer à Alger et Oran, selon l'Agence France presse.
Ce nouveau déplacement présidentiel vise « à approfondir la relation bilatérale tournée vers l'avenir au bénéfice des populations des deux pays, à renforcer la coopération franco-algérienne face aux enjeux régionaux et à poursuivre le travail d'apaisement des mémoires », avance-t-on du côté de l’Élysée. Selon le programme officiel, il est prevu une visite du cimetière Saint-Eugène dans la périphérie d'Alger ( très grand cimetière chrétien et juif ), en présence de l'archevêque d'Alger et du Grand Rabbin de France Haim Korsia. Cette étape sera suivie de rencontre avec des artistes, à Oran. Entre les deux, de nombreux dossiers épineux à aborder.
Les deux pays espèrent mettre fin aux tensions qui ont culminé ces derniers mois avec le rappel de l'ambassadeur d'Algérie en octobre 2021 après des propos du président français sur le système « politico-militaire » algérien et sur la nation algérienne. Pour son deuxième déplacement dans ce pays en tant que président, après celui de 2017, le président français sera accompagné d’une délégation de plus de 90 personnes composée de sept ministres, de parlementaires et de chefs d’entreprise et de politiques.
Ce déplacement intervient à un moment où les relations diplomatiques entre Paris et Bamako sont plus bas, caractérisées par le départ des Forces française du Mali après 09 ans de présence jugée inefficace dans la lutte contre le terrorisme. Les autorités de la Transition malienne accusent sans porter de gants la France de "complicité" avec les terroristes, en leur fournissant renseignements, armes et munitions, devant le Conseil de sécurité des Nations-unies.
Aboubacar TRAORE
Suite à la destruction d'un aéronef de reconnaissance des Forces armées maliennes, le gouvernement de la Transition a déposé ce jeudi 4 septembre, une plainte contre la République démocratique et populaire algérienne devant la Cour internationale de Justice. L'annonce a été par le gouverne.
Il en résulte une tendance de réalisation de 387 recommandations sur 517, soit 74,85%. Le document déplore certaines lenteurs notamment dans la mise en œuvre des projets industriels, de reboisement et de barrage.
La Cour constitutionnelle a déclaré, lundi dernier, à travers un arrêt la loi n°2024-38/CNT-RM du 5 décembre 2024 portant loi organique fixant le nombre des membres du gouvernement conforme à la Constitution. Cette décision fait suite à une requête du Président de la Transition à l’ins.
Les salaires des 36.151 agents non enrôlés dans le Système intégré de gestion des ressources humaines (SIGRH) seront suspendus à compter de septembre prochain. La décision a été rendue publique le 26 août dernier par le ministère de l’Économie et des Finances, Alousséni Sanou, dans un.
Le Conseil des Ministres s’est réuni en session ordinaire, le mercredi 27 août 2025, dans sa salle de délibérations au Palais de Koulouba, sous la présidence du Général d’Armée Assimi GOITA, Président de la Transition, Chef de l’Etat..
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