La résolution « exige également la libération immédiate et inconditionnelle de tous les otages et la garantie d’un accès humanitaire pour répondre à leurs besoins médicaux et autres besoins humanitaires, et exige en outre des parties qu’elles respectent les obligations que leur impose le droit international à l’égard de toutes les personnes qu’elles détiennent ».
Les membres du Conseil insistent enfin « sur la nécessité urgente d’étendre l’acheminement de l’aide humanitaire aux civils et de renforcer la protection des civils dans l’ensemble de la bande de Gaza » et « exigent à nouveau la levée de toutes les entraves à la fourniture d’une aide humanitaire à grande échelle ».
Le texte présenté par les 10 membres non permanents du Conseil a reçu 14 votes pour et une abstention (Etats-Unis). Les cinq membres permanents du Conseil sont : Chine, États-Unis, France, Royaume-Uni et France.
Dans la résolution, a expliqué l'ONU, les membres du Conseil de sécurité se déclarent « profondément préoccupés par la situation humanitaire catastrophique qui règne dans la bande de Gaza » et prennent note de l’action diplomatique en cours menée par l’Égypte, les États-Unis et le Qatar, « visant à parvenir à la cessation des hostilités, à obtenir la libération des otages et à accroître la fourniture et la distribution de l’aide humanitaire ».
Sur le réseau social X, le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, s'est félicité de l'adoption de la décision. «Cette résolution doit être mise en œuvre. Un échec serait impardonnable », a-t-il prévenu.
L'observateur permanent de l'État observateur de Palestine, a regretté le retard que l'adoption de ce cessez-le-feu immédiat a pris. Riyad Mansour a précisé que plus de 100.000 Palestiniens ont été tués et mutilés. Il a indiqué que les Palestiniens de Gaza vivent dans un contexte de famine et nombre d’entre eux sont enterrés sous les décombres de leurs propres maisons.
L'ambassadeur et représentant permanent d'Israël, a dénoncé le fait que « aujourd’hui encore, ce Conseil a refusé de condamner le massacre du 7 octobre ». « C’est une honte », a-t-il dit. Gilad Erdan a noté en outre qu'au cours des 18 dernières années, le Hamas a lancé des attaques incessantes contre des civils israéliens. « Des milliers et des milliers de roquettes et de missiles aveugles contre des civils », a-t-il souligné.
Mohamed DIAWARA
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