
La cérémonie organisée à cet effet a eu lieu samedi dernier dans les locaux de la mairie de la Commune V sous la présidence du maire Amadou Ouattara, entouré de certains conseillers. C’était en présence du président du Conseil national de la société civile, Boureima Allaye Touré et de plusieurs participants. Le débat a porté sur le compte administratif de l’exercice budgétaire 2021, l’état de fonctionnalité des organes et services communaux et le plan annuel du Programme de développement social, économique et culturel (PDSEC).
Sur une prévision de 7.453.222.478 Fcfa, les recettes de fonctionnement et d’investissements ont été réalisées à hauteur de 91,50%. Quant aux dépenses de fonctionnement et d’investissements, le taux de réalisation est de 86,96%.
Grâce à l’organisation permanente des sessions de restitution publique du compte administratif, l’image de la Commune V s’est considérablement améliorée. Pour Amadou Ouattara, cet exercice est un gage de transparence dans la gestion des affaires publiques. Le bilan est jugé satisfaisant. La Commune dispose plus de 1.500 puisards pour les eaux individuelles, qui tardent à être utilisés par les populations. La mairie doit initier des campagnes de sensibilisation pour l’utilisation de ces puisards afin de rendre la Commune propre.
Le payement de la taxe de développement régional et local ( TDRL) demeure un goulot d’étranglement pour la mairie. «Sur 150 millions de Fcfa programmés dans le budget, la mairie n’a perçu que 30 millions Fcfa. Les contribuables ne paient pas la taxe de développement régional et local qui ne coûte que 3.000 Fcfa par ménage et par an. La TDRL est un indicateur pertinent que les bailleurs de fonds apprécient avant de s’engager à accompagner la mairie.
«Je suis très heureux d’assister à cette restitution au niveau de la Commune V. C’est ce que nous demandons. Les citoyens ont besoin de savoir où vont les impôts qu’ils payent» s’est réjoui le président du Conseil national de la société civile, interrogé après le débat. À cet égard, Boureima Allaye Touré a souhaité que toutes les communes suivent cet exemple de transparence de la mairie de la Commune V.
Babba COULIBALY
Semoirs, charrues de labour, pièces de rechange des tracteurs sont fabriqués par nos artisans. La plupart de ces équipements sont vendus dans les zones de production comme Kita, Sikasso, Bougouni ou Koutiala. Certains fabricants arrivent aussi à écouler leurs produits dans des pays voisins.
Placée sous le thème : « Jeunesse engagée : apprendre et innover pour relever les défis de l’employabilité des jeunes du Mali », la 16ᵉ convention groupée de la zone 4 (Z4) de la Jeune Chambre Internationale (JCI) du Mali s’est tenue samedi dernier, au Centre de formation des collectiv.
Ils sont 512 déplacés provenant des régions les plus affectées par la crise sécuritaire à trouver refuge au Centre Mabilé, au cœur de la capitale malienne. Bien qu'insuffisant, le soutien des acteurs humanitaires locaux et internationaux réconforte ces sinistrés Situé en Commune VI du D.
5.000 emplois verts potentiels à identifier, trois propositions de politiques publiques à rédiger et un guide sectoriel à produire. Ce sont quelques objectifs phares du projet «Initiative pour promouvoir l’économie verte et la création d’emplois verts au Mali», officiellement lancé, mer.
Le constat a été fait par le ministre des Mines, Amadou Keïta, qui a visité les lieux la semaine dernière.
La 5è session du comité de pilotage du Programme de développement de la zone spéciale de transformation agro-industrielle des Régions de Koulikoro et péri-urbaine de Bamako (PDZSTA-KB) s’est tenue, hier, dans les locaux du ministère de l’Agriculture..