L’événement a été présidé par la ministre de la Promotion de la Femme, de l’Enfant et de la Famille, Mme Coulibaly Mariam Maiga (micro)
Il
s’agissait, notamment de la Coordination des associations et ONG féminines
(Cafo), de la Fédération nationale des femmes rurales (Fenafer), de
l’Association des 250 femmes formées à des métiers artisanaux à Kati (Cofak),
du Réseau des femmes leaders et du Réseau des femmes africaines ministres et
parlementaires (Refamp).
Certaines
femmes très enthousiastes brandissaient les drapeaux des trois pays de
l’Alliance des États du Sahel (AES) : le Mali, le Burkina Faso et le Niger.
D’autres portaient des pancartes sur lesquelles on pouvait lire : «Les femmes
de l’AES disent merci aux autorités pour l’initiative de la charte de Liptako
Gourma instituant l’Alliance des États du Sahel», «l’AES est l’avenir, AES est
sécurité».
L’événement
a été présidé par la ministre de la Promotion de la Femme, de l’Enfant et de la
Famille, Mme Coulibaly Mariam Maiga. Elle était entourée de plusieurs de ses
collègues, notamment le ministre de la Refondation de l’État, chargé des
Relations avec les institutions, Ibrahim Ikassa Maiga, le ministre de la
Jeunesse et des Sports, chargé de l’Instruction civique et de la Construction
citoyenne, Abdoul Kassim Ibrahim Fomba et la ministre déléguée auprès du
Premier ministre, chargée des Réformes politiques et institutionnelles, Mme
Fatoumata Sékou Dicko. On notait également la présence des membres du Conseil
national de Transition (CNT) comme Mme Djikiné Hatoumata Gakou et Mme Haïdara
Aichata Alassane Cissé.
La
présidente de Refamp, Sina Demba, a félicité les présidents du Burkina Faso, du
Mali et du Niger, pour l’initiative de création de l’AES et salué leur décision
historique et courageuse de sortir de la Cedeao, devenue un instrument aux
mains des puissances étrangères. «Les peuples du Mali, du Niger et du
Burkina Faso ont compris depuis fort longtemps que notre organisation commune,
la Cedeao, est utilisée par des puissances pour empêcher les pays de l’AES de
se développer. Les politiques qu’ils ont imposées au sein de la Cedeao
nous empêchent d’aller de l’avant.
La Cedeao a été détournée de ses objectifs
premiers, à savoir l’intégration économique, la mise en commun de nos
potentialité en termes de ressources économiques, la suppression des barrières
douanières pour pouvoir faciliter les transactions entre les populations», a évoqué, pour sa
part, le ministre de la Refondation de l’État, chargé des Relations avec les
institutions. Pour Ibrahim Ikassa Maïga, le renouveau de l’Afrique est depuis
entamé au sein des États du Sahel. Il a salué les femmes du Mali pour leur
soutien aux autorités de la Transition.
La
ministre chargé de la Promotion de la Femme a, au nom du président de la
Transition et du Premier ministre, remercié l’ensemble des groupements et
associations des femmes qui ont témoigné de leur soutien et leur accompagnement
aux autorités de la Transition suite au retrait de l’AES de la Cedeao. «Nous
sommes réunies ici pour apporter notre soutien au peuple malien et aux
autorités de la Transition.
Nous sommes là à visage découvert et à la face du
monde entier pour faire bloc derrière ces grands hommes que sont le général
Abdramane Tiani, le colonel Assimi Goïta et le capitaine Ibrahim Traoré, qui
ont décidé sans hésitation et dans le seul intérêt de nos peuples de quitter la
Cedeao. Cette décision qui engage nos peuples sur la voie de la souveraineté
politique et économique mérite notre accompagnement de tout les jours», a fait
savoir Mme Coulibaly Mariam Maïga. Elle a affirmé que les femmes du Mali ont
accueilli cette mesure du retrait de l’AES avec beaucoup de fierté.
Sinè TRAORE
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