
Le Président de la Transition et Président de la Confédération des États du Sahel (AES), le Général d’armée Assimi Goïta
Le Collège des Chefs d’État de la Confédération AES rappelle qu’en application de sa décision en date du 22 décembre 2024, il a décidé, entre autres mesures, de faire de l’espace confédéral un théâtre unique d’opérations militaires.
Par conséquent, il considère la destruction d’un drone des Formes armées et de sécurité maliennes, comme étant une agression visant tous les États membres de la Confédération AES et une voie perfide de promouvoir le terrorisme ainsi que de contribuer à la déstabilisation de la région. Cet incident, dira le communiqué, est d’autant plus grave qu’il ressort des conclusions de l’enquête que la destruction du drone a empêché la neutralisation d’un groupe de terroristes qui planifiait des actes terroristes contre l’AES.
Le Collège des Chefs d’État de la Confédération AES condamne avec la plus grande énergie cet acte irresponsable du régime algérien, en violation du droit international et à rebours des relations historiques et fraternelles entre les peuples de la Confédération AES et le peuple algérien.
En outre, le Collègue des Chefs d’État de l’AES a décidé de rappeler pour consultations les ambassadeurs des États membres accrédités en Algérie.
Il rappelle, d’une part, au régime algérien que l’éradication du terrorisme demeure une lutte existentielle pour l’AES, d’autre part, exige de lui d’adapter une posture constructive et de contribuer enfin, à la promotion de la paix et de la sécurité dans la région. Enfin, le Collège des Chefs d’État de la Confédération AES rassure les populations que les Forces de défense et de sécurité demeurent pleinement mobilisées pour assurer leur sécurité et défendre l’intégrité de l’espace confédéral.
Madiba KEÏTA
Ce financement est destiné à faire face à la situation d’urgence : chocs climatiques, insécurité alimentaire, déplacements liés aux conflits armés.
La relecture de la Charte des partis politiques ravise aujourd’hui les débats politiques dans notre pays. Le Mali compte actuellement près de 300 partis politiques et lors des Assises nationales de la refondation (ANR) tenues en décembre 2022, la réduction de leur nombre fait partie des recom.
Faut-il dissoudre les partis politiques ? C’est par cette question que Me Cheick Oumar Konaré, avocat au barreau malien et ancien journaliste, verse son analyse sur le débat concernant la réduction du nombre des partis politiques dans le cadre de la relecture de la Charte des partis politiques .
En réaction, le gouvernement a convoqué l’ambassadeur algérien pour protester contre l’hostilité du régime algérien.
Cela fait près de 50 ans que le célèbre couple musicien non voyant Amadou et Mariage évolue ensemble sur la scène musicale. Le duo, formé à l’Institut des jeunes aveugles de Bamako, avait débuté sa carrière dans la capitale avant d’évoluer sur la scène internationale..
La commission de rédaction du projet de charte pour la Paix et la Réconciliation nationale entame ce matin une série de consultations avec les forces vives de la Nation..