
Plus de 150 responsables sportifs ont participé à la session
La rencontre qui a réuni 160 participants issus des fédérations sportives nationales et associations féminines, vise à promouvoir l’accès des femmes aux postes de responsabilité dans le domaine sportif et à encourager l’égalité des genres dans la gouvernance des instances sportives du pays.
Animé par Tidiani Niambélé, directeur de cabinet du président du CNOS, le séminaire s’est tenu en présence de Dr Alassane Mariko, directeur exécutif du CNOS et de la nouvelle présidente de la commission femmes et sport du Mouvement olympique national, Aminata Dembélé, ceinture noire, 4è dan de taekwondo.
Selon Dr Alassane Mariko, le séminaire s’inscrit dans une vision claire du président du CNOS, Habib Sissoko, en faveur d’une meilleure représentativité des femmes dans les sphères décisionnelles du sport. «Ce séminaire est un processus de renforcement et de valorisation des femmes sportives, tant au Mali qu’au niveau international. C’est également une occasion de recueillir des témoignages, d’analyser les obstacles rencontrés par les femmes et de formuler des recommandations pour améliorer leur accès à la gouvernance sportive», a dit le directeur exécutif du CNOS-Mali.
Aminata Dembélé et Mme Sian Fofana, secrétaire générale adjointe du CNOS-Mali figuraient également parmi les panelistes. «C’est mon premier séminaire, en tant que présidente de la commission Femmes et sport du Comité national olympique et sportif et je tenais à marquer le début de mon mandat, en organisant un grand événement, a dit Aminata Dembélé. Cette thématique est rarement traitée et à travers ce séminaire, notre objectif est de recueillir les idées de tous et d’impulser une dynamique vers une reconnaissance réelle des femmes dans les postes décisionnels des fédérations et associations sportives».
La plupart des fédérations étaient représentées à la rencontre par une femme et un homme.
Gaoussou TANGARA
Rédaction Lessor
Les principales voies suivantes de la ville de Bamako : Du monument de l’Afrique à Nyamana, du monument du 26 Mars au monument de l’Afrique, de l’avenue de l’Armée (Sotuba) à la route de Ségou, de l’avenue Moussa Traoré à Titibougou, de Sotuba (zone industrielle) à Quinzambougou, de.
Dans l’imaginaire collectif, les Organisations non gouvernementales (ONG) internationales sont parfois perçues comme des instruments d’ingérence, des freins au développement national ou encore comme des foyers de dépravation et de corruption..
L’Association Côté cour a présenté, lundi 16 juin dernier à son siège à Djicoroni Para, l’avant-première de sa pièce de théâtre intitulée : «Les couleurs du respect». L’œuvre est écrite par le célèbre comédien Issa Coulibaly et mise en scène par la présidente de l’Associ.
Le Général de division Abdoulaye Maïga a lancé, hier, les épreuves. Cette année, ils sont 199.449 candidats inscrits, dont 95.437 filles, repartis entre 533 centres. Parmi les postulants, figurent 140 candidats réfugiés à M’Berra en Mauritanie.
La chanteuse Biguini Baghaka vient de faire parler d’elle non pas pour sa musique mais pour sa décision de décrocher le Bac en dépit de ses responsabilités et de sa notoriété. L’ information rendue publique sur les réseaux sociaux est confirmée par l’artiste elle-même dans une courte .
Dans cet entretien, le chef du service de psychiatrie du Centre hospitalier universitaire du Point G explique l’ampleur du phénomène dans notre pays. Le praticien hospitalier souligne aussi l’addiction à la drogue et les dispositifs de prise en charge des toxicomanes.