
Les intervenants ont posé quelques questions de précision et d’inquiétude
les responsables des centrales syndicales l’état d’avancement de leurs travaux avant de recueillir leurs avis, contributions et observations en vue d’enrichir le contenu du document.
Les intervenants, après avoir salué la qualité du document, ont posé quelques questions de précision et d’inquiétude portant, entre autres, sur l’intégration de certains départements ministériels dans l’avant-projet au détriment d’autres, du pacte de stabilité et de croissance, des concepts comme la jeunesse consciente et formée, de l’humilité dans le chapitre concernant les valeurs, de la Commission vérité, justice et réconciliation (CVJR), de la protection des femmes en période de crise, du vivre ensemble.
Les experts de la Commission ont pris bonne note de certaines de ces préoccupations et apporté des éclaircissements sur d’autres points. Concernant la CVJR, ils ont rappelé que la mission de cette structure a pris fin qu’une autre a été mise en place dans le cadre de la recherche de la paix, de la réconciliation et de la cohésion sociale. également, les participants ont été informés que le nom d’aucun département ministériel ne figurera dans le Projet de la Charte nationale pour la paix et la réconciliation nationale. Par contre, l’avant-projet fait réellement mention du pacte de stabilité sociale et de croissance qui lie le gouvernement et les partenaires sociaux.
Bref, il a été reconnu que le document tire le maximum d’éléments de notre histoire et de nos mécanismes endogènes, et recueille un ensemble de bonnes pratiques pour prévenir, gérer et régler les conflits dans notre pays. Les organisations syndicales du pays ont un délai de trois jours pour apporter leurs contributions, suggestions et avis sur le document au secrétariat de la Commission nationale de rédaction du projet de la Charte.
Des documents ont été distribués aux participants à la rencontre pour exploitation dans cette intention. Dans ses propos introductifs, Ousmane Issoufi Maïga a apprécié le rôle que joue chacune des organisations dans notre société. Il a rassuré que sa Commission ne doute pas un instant, qu’avec des grandes qualités, des hommes et des femmes à leur sein, les syndicats vont apporter une plus-value dans ce vastes chantier pour recoudre le tissu social.
Oumar DIAKITE
Afin de mieux édifier la population, renforcer la cohésion sociale et préserver les intérêts de la Confédération des États du Sahel (AES), le gouvernement entend prendre en main sa communication. Cela, pour faire face à la crise multidimensionnelle que traverse notre pays ainsi qu’aux dif.
Les membres du Conseil national des personnes âgées du Mali souhaitent leur prise en compte dans les mécanismes endogènes de prévention, de gestion et de règlement des conflits.
La Cour constitutionnelle a soutenu que la Charte nationale pour la paix et la réconciliation nationale mérite d’être annexée à la Loi fondamentale parce qu’elle porte sur le même objet que cette dernière.
Les préoccupations soulevées par la presse sont notamment la précarité de la profession, la suspension de l’aide publique qui lui est dévolue, la faiblesse des textes régissant la corporation.
Le Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta, a reçu en audience le vendredi dernier à Koulouba, le ministre d’État, ministre de la Justice, Garde des Sceaux de la République démocratique du Congo (RDC), Constant Mutamba Tungunga, porteur d’un message du Président .
Pour cette année, le gouvernement annonce l’intégration de 2.000 ex-combattants issus des groupes républicains d’autodéfense dans les Forces de défense et de sécurité en tant que soldats de 2è classe et la réinsertion socioéconomique de 1.000 ex-combattants au profit des inaptes du Mé.