
L'incident a été causé par le décrochement de la cuve de carburant de la cabine du conducteur. Selon la protection civile, le crochet reliant la cuve à la cabine s'est subitement détaché alors que le camion tentait de monter sur l'échangeur. La cuve pleine, comprenant cinq compartiments de 11 000 litres chacun, a alors reculé sur 150 mètres avant de finir sa course sur le bas-côté.
Les sapeurs-pompiers ont rapidement déployé un dispositif important pour contenir les matières dangereuses et sécuriser la zone, permettant ainsi l’enlèvement du poids lourd et de sa cargaison.
Des grues de relevage ont été mobilisées pour remettre le camion sur ses roues afin de l'évacuer. En milieu d’après-midi, les opérations de dépannage se sont achevées, rétablissant ainsi la circulation.
Malgré l'absence de pertes humaines, des dégâts matériels ont été constatés, notamment la déformation de la citerne et des fuites de carburant sur la voie de l'échangeur, entraînant de sérieuses perturbations de la circulation sur cet axe et aux alentours.
L'accès à la montée de l'échangeur a été temporairement fermé pendant l'intervention. À la suite de l'incident, l'apprenti chauffeur a été mis aux arrêts pour vol de carburant, qu’il revendait aux passants.
Tamba CAMARA
Un duo d’officiers de police est décidé à ne pas donner de répit aux malfrats de tout acabit qui coupent le sommeil des populations de Sébénicoro, quartier populaire de la Commune IV du District de Bamako. Il s’agit notamment du commissaire divisionnaire Boubacar Sanogo et son adjoint, le .
Dans les foyers polygames, l’iniquité peut occasionner des frictions entre les épouses et aboutir à des divorces. Mais, il faut plus redouter une fracture familiale à travers une inimitié entre les enfants.
Les activités ont été lancées, hier au CICB par le Premier ministre Abdoulaye Maïga, en présence de son homologue du Burkina Faso, Rimtalba Jean-Emmanuel Ouédraogo. Le Chef du gouvernement a expliqué que la création de ce mouvement répondait à la volonté de doter notre pays d’un puissa.
Les policiers du commissariat de Sabalibougou ont récemment mis hors d’état de nuire cinq malfrats qui semaient la terreur au sein des populations du quartier populaire de Sabalibougou et ses environs. Ils ont tous des surnoms plus évocateurs les uns que les autres. Ils sont ainsi surnommés C.
La semaine dernière, l’antenne régionale de l’Office central des stupéfiants (OCS) de Samé, dans la Région de Kayes a effectué une déscente dans le milieu des dealers et leurs complices..
Sous la direction du commissaire Mohamed Diakité et de son adjoint Aboubacar C. Camara du commissariat police du 2ème arrondissement de Sikasso, et suite à une série d’opérations menées entre le 11 et le 21 juillet dernier, les limiers dudit commissariat ont mis la main sur neuf (09) individ.