Le directeur général de l’Office national des produits pétroliers (ONAP)
a expliqué que depuis quelques mois, le marché du pétrole traverse l’une de ses
plus importantes crises et aucun pays, même développé, n’est préparé pour cette
situation inédite.
«Les outils classiques
d’ajustement du marché n’ont pas suffi. Chaque pays subit ainsi de plein fouet
l’effet conjugué de la rareté des produits qui a engendré la flambée des prix»,
a détaillé Modibo Diall, ajoutant que cette flambée frappe les pays producteurs
et les pays consommateurs avec une répercussion douloureuse sur les pays
enclavés comme le nôtre.
«Tenant compte des dernières informations du marché et malgré la renonciation par l’État de ses droits et taxes au cordon douanier et le dynamisme de nos braves opérateurs pétroliers qui ont renoncé à une grande partie de leurs marges, l’augmentation des prix à la pompe s’impose encore à notre pays», a signalé le directeur général de l’ONAP, tout en assurant la population que les autorités feront tout pour que les prix des hydrocarbures soient accessibles aux consommateurs.
Yacouba TRAORE
Le Lycée «Askia Mohamed» (LAM) de Bamako est l’un des plus anciens établissements d’enseignement secondaire de notre pays. Cet établissement d’enseignement secondaire qui existe depuis plus d’un siècle a été visité, hier, par le ministre de l’Éducation nationale, Dr Amadou Sy Sav.
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Pour la 90è session du Conseil d’administration de la Banque de développement du Mali (BDM-SA), tenue samedi dernier dans ses locaux, les administrateurs ont examiné en premier lieu le budget d’investissement et d’exploitation qui permet à l’institution d’assurer la continuité de ses .
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À la date du lundi 8 décembre, au Grand marché de Bamako, le sac de 100 kg de mil est vendu à 20.000 Fcfa contre 22.500 Fcfa avant. Le sac de 100 kg de riz Gamiyaka, cédé auparavant à 45.000 Fcfa, se négocie désormais autour de 40.000 Fcfa.