
Cette session de formation concerne
21 filles diplômées en journalisme et
communication. L’objectif de cet atelier d’une durée de trois semaines est
de renforcer les capacités et de contribuer à l’émergence des femmes journalistes,
communicatrices au sein des médias et dans les entreprises de communication.
L’ouverture des travaux s’est déroulée vendredi à l’Agence nationale de
communication pour le développement (ANCD) en présence du représentant du
directeur général de l’Office de radio et télévision du Mali (ORTM), Oumar
Moussa Traoré, de la représentante de
l’ONU Femmes au Mali, Mariétou Diaby et du coordinateur pédagogique, Sadou
Yattara.
Selon le coordinateur pédagogique, l’évaluation de la 1ère édition
du progenre a recommandé d’initier d’autres formations à l’endroit des jeunes
filles journalistes et communicatrices.
C’est ainsi que le Réseau audiovisuel
de l’Afrique francophone et ses partenaires ont répondu favorablement, en lançant
cette 2è édition. Les modules de ce stage porteront sur les termes, notamment,
des informations en relation avec les institutions, le leadership, l’inclusion
des femmes, la production et l’animation des magazines, l’entretien, le débat,
le reportage, les outils en capacité de conduite de production et d’édition, a
expliqué Sadou Yattara.
Pour la circonstance, les organisateurs ont fait appel à la
compétence d’experts chevronnés dans le domaine des médias et dans d’autres
disciplines afin qu’ils puissent partager leurs expériences avec les stagiaires.
C’est dans cette optique que le directeur général du PMI-Mali, Fassery Doumbia,
a fait un exposé, jeudi dernier, sur les concepts de base en audit et bonne gouvernance. Selon lui, cette expérience
peut aider les jeunes stagiaires. «L’une des questions fondamentales reste la
bonne gouvernance et les journalistes sont un grand relais pour la diffusion des informations par
rapport à la gestion de la société», a-t-il expliqué.
Pour la représentante de l’ONU-Femmes, les inégalités entre
femme et homme dans le domaine des médias se manifestent sous plusieurs aspects
dont le faible accès aux plus hautes responsabilités. «Pour l’appui et
l’accompagnement, je peux vous rassurer de l’engagement d’ONU-Femmes pour vous
aider à construire votre carrière professionnelle», a indiqué Marıétou Diaby.
Le représentant du directeur général de l’ORTM a relevé que les médias ont une responsabilité importante en matière d’inégalité entre homme et femme. Selon Oumar Moussa Traoré, l’image des femmes qu’ils véhiculent doit contribuer à lutter contre les stéréotypes basés sur le genre.
Yacouba TRAORE
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