
Selon nos confrères de l’Agence Ecofin, le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé, le mercredi 16 avril, avoir approuvé un décaissement de 129 millions de dollars (plus de 74 milliards de Fcfa) à la demande du Mali. Ce financement, précise le journal en ligne, intervient dans le cadre de la Facilité de crédit rapide (FCR) destinée à répondre aux besoins urgents de la balance des paiements, notamment après les inondations qui ont frappé le pays.
«Le financement d’urgence au titre de la facilité de crédit rapide (FCR) aidera à répondre aux besoins urgents de financement de la balance des paiements engendrés par les inondations. Ce choc exogène a causé des dommages considérables aux infrastructures publiques et détruit les moyens de subsistance, exacerbant l’insécurité alimentaire déjà élevée et les déplacements internes», a déclaré Kenji Okamura, directeur général adjoint du FMI.
Pour l’Agence Ecofin, le programme de référence qui accompagne la FCR, d’une durée de 11 mois, engage les autorités maliennes à renforcer la gouvernance budgétaire, à améliorer la gestion des finances publiques, ainsi qu’à garantir la transparence et la responsabilité dans l’utilisation des fonds. Notre gouvernement, d’après le journal en ligne, s’est également engagé à renforcer la protection sociale et à intensifier la lutte contre l’insécurité alimentaire, afin de soutenir les populations les plus vulnérables.
L’économie malienne, fragilisée par des chocs climatiques répétés, évolue dans un contexte de crise sécuritaire, humanitaire et de fortes restrictions financières. À l’issue des discussions avec nos autorités, le FMI a souligné l’importance de poursuivre les réformes structurelles pour garantir une utilisation efficiente des fonds publics, restaurer la crédibilité auprès des partenaires au développement et améliorer le climat des affaires.
Selon le FMI, le risque de surendettement du Mali reste modéré, malgré une dégradation des indicateurs depuis la dernière analyse de viabilité de la dette menée en 2023, souligne l’Agence Ecofin.
Madiba KEÏTA
Semoirs, charrues de labour, pièces de rechange des tracteurs sont fabriqués par nos artisans. La plupart de ces équipements sont vendus dans les zones de production comme Kita, Sikasso, Bougouni ou Koutiala. Certains fabricants arrivent aussi à écouler leurs produits dans des pays voisins.
Placée sous le thème : « Jeunesse engagée : apprendre et innover pour relever les défis de l’employabilité des jeunes du Mali », la 16ᵉ convention groupée de la zone 4 (Z4) de la Jeune Chambre Internationale (JCI) du Mali s’est tenue samedi dernier, au Centre de formation des collectiv.
Ils sont 512 déplacés provenant des régions les plus affectées par la crise sécuritaire à trouver refuge au Centre Mabilé, au cœur de la capitale malienne. Bien qu'insuffisant, le soutien des acteurs humanitaires locaux et internationaux réconforte ces sinistrés Situé en Commune VI du D.
5.000 emplois verts potentiels à identifier, trois propositions de politiques publiques à rédiger et un guide sectoriel à produire. Ce sont quelques objectifs phares du projet «Initiative pour promouvoir l’économie verte et la création d’emplois verts au Mali», officiellement lancé, mer.
Le constat a été fait par le ministre des Mines, Amadou Keïta, qui a visité les lieux la semaine dernière.
La 5è session du comité de pilotage du Programme de développement de la zone spéciale de transformation agro-industrielle des Régions de Koulikoro et péri-urbaine de Bamako (PDZSTA-KB) s’est tenue, hier, dans les locaux du ministère de l’Agriculture..