
La défense et la sécurité de la patrie, la lutte contre le terrorisme et le banditisme transfrontalier ainsi que la libre circulation des personnes et des biens sont une priorité pour les autorités de la Transition sous le leadership du Chef de l’État, le Général d’armée Assimi Goïta. Ce slogan se traduit chaque jour par la montée en puissance des Forces armées maliennes (FAMa) qui ne tergiversent plus quand il est question d’aller sur le champ de l’honneur, de la reconquête de l’intégrité territoriale.
Pour pérenniser et assurer sa défense et sa sécurité, le Mali outille régulièrement ses FAMas de matériels de dernière génération. C’est dans ce cadre que nous assistons en ces derniers temps à l’arrivée massive d’équipements militaires. Comme en témoigne la réception, mercredi dernier, par notre pays, d’une centaine de camions remplis d’équipements destinés aux FAMas. En provenance du port de la République de Guinée, cet arsenal militaire est essentiellement composé de camions chargeant des conteneurs. Çà et là, nous apercevons des matériels pour le génie militaire. Le tout sous une forte escorte militaire.
De Sébénikoro à Kati en passant par le monument de l’Indépendance, nous avons eu droit à deux passages de ces engins lourds sous le regard admiratif des citoyens massés le long de la route. Certains sous le coup de l’émotion n’ont cessé de faire des vœux pour le Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta. D’autres aussi formulaient des bénédictions à l’endroit de notre vaillante et redoutable Armée.
Passage des engins lourds au niveau du monument de l’Indépendance
Comme le vieux Boubacar Dicko qui s’est dit satisfait de l’action des militaires au pouvoir. «Ce n’est pas de la propagande. Malgré le contexte, ils parviennent à payer ces équipements», s’est réjoui le sexagénaire qui a marché du Ciné Magic (ex Babemba) au monument de l’Indépendance où notre équipe de reportage s’est positionnée à partir de 14 heures pour rendre compte de cet évènement majeur en cette journée de commémoration des Martyrs.
Comme à l’accoutumée, les klaxons des engins à deux roues et les vrombissements des véhicules s’entremêlent dans une atmosphère lourde.
À 15 h 22 devant le boulevard de l’Indépendance, la sirène retentit pour annoncer l’arrivée imminente du convoi militaire qui prend la direction de la ville garnison de Kati.
Namory KOUYATE
Au Centre international de conférences de Bamako, deux experts de la Commission de rédaction du projet de Charte nationale pour la paix et la réconciliation nationale, l’ancien ministre de la Défense et des Anciens combattants, le Général à la retraite Yamoussa Camara et l’universitaire D.
La Commission de rédaction du projet de Charte pour la paix et la réconciliation nationale, à un mois de la fin de sa mission, a fait hier le bilan de ses travaux..
Ce travail, mené par la Commission nationale de vulgarisation des symboles de l’État, a concerné le drapeau, l’hymne national, la devise, les armoiries et le sceau.
Enseignant-chercheur à la faculté de droit privé de l’Université Kurukanfuga de Bamako et secrétaire général adjoint de l’Association malienne de droit pénal, Dr Boubacar Bocoum, cogite sur l’arsenal juridique que l’État a mis en place pour lutter contre la cybercriminalité.
Dans nos échanges avec le procureur de la République du Pôle national de lutte contre la cybercriminalité, Dr Adama Coulibaly, a dit en substance que sa juridiction est compétente pour statuer sur les affaires en lien avec la Loi n°00-046 du 7 juillet 2000 portant régime de presse et d.
Intitulé «La Confédérale», cet hymne est une œuvre musicale et poétique qui incarne l’âme commune, les valeurs fondatrices et les ambitions collectives des peuples du Burkina Faso, du Mali et du Niger. Composé de trois couplets et deux refrains, il se veut à la fois un repère identitair.