
Ce geste, bien que pouvant paraître contre-intuitif dans une démocratie conventionnelle, reflète une profonde compréhension de la situation unique du Mali, une nation aspirant à la stabilité et à l’unité après des années de tumulte
Congrès de la Convergence pour le développement
du Mali (Codem) (photo d’archives)
Comme
le calme qui précède la tempête, le Mali, sous l’étoile guide du colonel Goïta,
s’embrasse dans un silence politique provisoire, semant délibérément les
graines d’un dialogue nécessaire dans le sol fertile de la Transition. Dans
cette vaste étendue où les voix politiques s’apaisent, c’est le terrain qui est
préparé avec soin pour accueillir les germes d’une nation renouvelée,
promettant l’émergence d’une oasis luxuriante de paix, d’unité et de prospérité
dans le désert des défis multidimensionnels.
La décision des autorités maliennes de la Transition de suspendre les activités des partis et regroupements politiques sur l’ensemble du territoire national, explique le ministre d’État, ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, et Porte-parole du gouvernement, s’inscrit dans une logique de préservation de l’unité et la continuité du processus de Dialogue inter-Maliens, seul processus actuellement à portée de main pour assurer l’avenir de notre pays.
Le Dialogue inter-maliens, un processus salvateur pour l’avenir du pays
Dans
un monde où l’immédiateté de l’information et la pression internationale
peuvent souvent fausser la perception des enjeux nationaux, il est impératif de
reconnaître la complexité des défis auxquels le Mali est confronté. Les
autorités de la Transition, sous la direction éclairée du colonel Goïta, ont
identifié le Dialogue inter-Maliens comme la clé de voûte pour bâtir un Mali
renouvelé, souverain et paisible. «Ce dialogue, un processus salvateur pour
l’avenir du Mali», comme le souligne le rapport présenté lors du Conseil
des ministres, est désormais au cœur de la stratégie nationale.
L’importance de cette suspension temporaire des activités politiques ne réside pas dans une quelconque aversion pour le débat démocratique, mais dans la reconnaissance qu’un espace de calme et de réflexion est essentiel pour permettre à toutes les voix de se faire entendre. Or, précise le ministre d’État, «les actions de subversion des partis politiques et de leurs alliés ne font que se multiplier», soulignant ainsi la nécessité de créer un environnement propice au dialogue constructif et inclusif.
«Un pont vers un
dialogue
constructif»- Les efforts des autorités ne se limitent pas à la gestion des
tensions politiques ; ils s’étendent aux défis sécuritaires et de développement
que le Mali doit relever. Selon nos informations, «les Autorités de la
Transition ont engagé des actions holistiques prenant en compte aussi bien les
questions sécuritaires que celles de développement pour assurer le bien-être
des populations». Cela démontre une approche globale, visant à garantir non
seulement la sécurité immédiate, mais aussi le progrès à long terme pour tous
les Maliens.
Dans
le respect des principes démocratiques, la suspension des activités politiques
est basée sur des fondements juridiques solides, énoncés dans les lois
régissant les partis politiques et les associations au Mali. Ces mesures ne
sont pas prises à la légère, mais découlent d’une analyse approfondie des lois
existantes et de la Constitution elle-même, affirmant ainsi l’engagement des
autorités envers la légalité et l’ordre public.
Loin d’être une fin en soi, cette suspension est perçue comme «un pont vers un dialogue constructif», essentiel pour tracer la voie d’un Mali uni. Dans cet esprit, les autorités de la Transition invitent le peuple malien à faire preuve de patience et de confiance, assurant que les bases posées aujourd’hui à travers le Dialogue inter-Maliens seront les piliers d’un Mali démocratique et prospère.
Ouvrir
la voie à une ère de démocratie et de prospérité partagée- Cette période de
calme politique n’est pas un silence forcé, mais une invitation à écouter, à
réfléchir et à construire ensemble. Les autorités maliennes de la Transition,
guidées par le colonel Assimi Goïta, montrent un exemple de leadership qui,
tout en reconnaissant la complexité des défis actuels, reste résolument tourné
vers l’avenir. C’est dans ce contexte que la suspension temporaire des
activités politiques devient non seulement un acte de gouvernance responsable,
mais aussi un symbole d’espoir pour un Mali uni, en paix et florissant.
Dans
cette démarche ambitieuse, le Mali nous rappelle l’importance de la patience,
de la compréhension et de la solidarité dans le processus de reconstruction
nationale. C’est un calme avant la construction d’un Mali renouvelé, où chaque
citoyen aura bientôt l’opportunité de s’exprimer à nouveau dans le cadre d’un
processus électoral transparent et équitable, ouvrant ainsi la voie à une ère
de démocratie et de prospérité partagée.
Correspondance
particulière
Rédaction Lessor
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