
La réunion se tient du 10 au 14 octobre et s’inscrit dans le cadre des activités du PAGR-SANAD
La rencontre porte
sur la validation des résultats de l’étude de capitalisation des expériences
positives et des bonnes pratiques en matière de nutrition, de prévention et de
prise en charge de la malnutrition, sous toutes ses formes, dans les 5 pays du
Sahel et de l’Afrique de l’Ouest.
Cette réunion de cinq jours (du 10 au 14 octobre), organisée
par l’Institut du Sahel (Insah) s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des
activités du Projet d’amélioration de la gouvernance, de la résilience et de la
sécurité alimentaire et nutritionnelle et de l’agriculture durable
(PAGR-Sanad).
En Afrique de l’Ouest, ce programme régional est initié et mis en
œuvre par la Communauté économique des états de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao),
l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa), le Réseau des organisations
paysannes et de producteurs de l’Afrique de l’Ouest (Roppa) et le Comité inter-états
de lutte contre la sécheresse au Sahel (Cilss), sur financement de l’Union
européenne (UE).
L’objectif général de la rencontre est de renforcer la
gouvernance de la sécurité alimentaire et nutritionnelle, l’agriculture durable
en Afrique de l’Ouest et au Sahel afin d’assurer face aux risques économiques
et environnementaux, un meilleur accès à l’alimentation et un meilleur impact
nutritionnel. Mais aussi de renforcer la résilience des populations vulnérables.
Le directeur général de l’Institut du Sahel, Dr Mohamed
Abdellahi Ebbe, qui présidait l’ouverture des travaux a rappelé que le Cilss
est une organisation sous-régionale, créée le 12 septembre 1973 au lendemain
des sécheresses des années 1970 qui ont sévi au Sahel. Il a pour mandat de
s’investir dans la recherche de la sécurité alimentaire et nutritionnelle, la
lutte contre les effets de la sécheresse et de la désertification pour un
nouvel équilibre écologique au Sahel et en Afrique de l’Ouest.
Pour opérationnaliser son mandat, a précisé le responsable
de l’Institut du Sahel, le Cilss a été doté de deux institutions spécialisées à
savoir le Centre régional Agrhymet (un centre climatique régional pour l’Afrique
de l’Ouest et le Sahel, créé en 1974 et basé au Niger) et l’Institut du Sahel
(Insah), basé à Bamako. Celui-ci a été
porté sur les fonts baptismaux le 11 septembre 1976 par la résolution N°
003/6/CM-CILSS/76 du conseil des ministres du Cilss tenu à Banjul en Gambie.
Pour le directeur général de l’Insah, son Institut est un
outil de coopération et d’action régionale qui a pour mandat de coordonner,
d’harmoniser et de promouvoir les actions de recherche, de capitalisation de la
recherche et de formation continue dans les domaines de la sécurité
alimentaire et nutritionnelle. Il travaille aussi dans les domaines des
transferts de technologies, de la gestion des ressources naturelles, de
l’environnement, des changements climatiques, des pesticides, de la protection
des végétaux, des réglementations sur les intrants agricoles et
biotechnologies.
à l’issue des travaux, des rapports nationaux de
capitalisation des expériences positives et des bonnes pratiques en matière de
nutrition, de prévention et de prise en charge de la malnutrition, sous toutes
ses formes, dans les 5 pays concernés
seront présentés. Tout comme des fiches de synthèse sur ces questions.
Il est bon de préciser que les observations, suggestions et amendements des participants seront recueillis et intégrés dans les rapports nationaux et dans les fiches de synthèse.
Makan SISSOKO
Semoirs, charrues de labour, pièces de rechange des tracteurs sont fabriqués par nos artisans. La plupart de ces équipements sont vendus dans les zones de production comme Kita, Sikasso, Bougouni ou Koutiala. Certains fabricants arrivent aussi à écouler leurs produits dans des pays voisins.
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