Selon le directeur général de l’Amarap, Sory Ibrahima Coulibaly, les thématiques abordées porteront sur les applications de l’énergie nucléaire au niveau national. «Un thème sera axé sur les effets des radiations ionisantes et les exemples d’accidents, un autre sur l’infrastructure réglementaire de radioprotection, ainsi que sur des exemples d’accidents survenus dans le monde. Enfin, un dernier thème portera sur la réglementation et le développement de la radioprotection», a-t-il précisé.
Organisme public chargé de la réglementation en matière de sûreté radiologique et de sécurité nucléaire, l’Agence malienne de radioprotection a pour mission principale de veiller à la protection des personnes et de l’environnement contre les effets néfastes des radiations ionisantes, selon la représentante du ministre de l’Énergie et de l’Eau. Aminata Fofana a souligné que les techniques nucléaires sont utilisées dans plusieurs domaines socioéconomiques, notamment la santé, l’agriculture, l’élevage, les ressources en eau, l’industrie et les mines, la sécurité, les travaux publics, l’enseignement. «En plus de ces usages classiques de l’énergie nucléaire, le Mali envisage d’inclure l’électronucléaire dans son mix énergétique, afin de juguler la lancinante question de pénurie d’énergie dans notre pays», a-t-elle ajouté.
Par ailleurs, la représentante du département de tutelle a rappelé qu’au niveau international, l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a été créée en 1957, afin de promouvoir les usages pacifiques de l’énergie nucléaire et de protéger les personnes et l’environnement contre ses effets néfastes. Et au plan national, dans le souci de protéger ses citoyens et de respecter ses engagements internationaux, le Mali a mis en place un cadre législatif et réglementaire, ainsi qu’un organisme de réglementation. En effet, l’Ordonnance n°02-060/P-RM du 5 juin 2002 consacre l’Amarap comme organisme de réglementation, avec le statut d’Établissement public à caractère administratif (EPA) et le conseil d’administration comme l’instance suprême de gestion.
Aminata DJIBO
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