
L’objectif de cet atelier était, entre autres, l’instauration de la transparence dans la gestion des affaires publiques de la Commune, la mobilisation des citoyens autour des affaires locales, l’émulation et l’esprit de l’exercice de la citoyenneté pour motiver la population au paiement des impôts et renforcer la confiance mutuelle.
Amadou Tangara, représentant du chef de village de Bla et Mamadou Samaké, maire de la Commune rurale de Bla, ont félicité le maire et le bureau communal pour l’organisation de cette journée de restitution publique.
Le secrétaire général de la mairie et le chef du service financier ont présenté les services de base rendus à la population dans la Commune, à savoir les recettes et dépenses de l’exercice 2021, les détails des recettes propres de la mairie, le bilan des activités réalisées et non réalisées courant 2021 et la situation du recouvrement des impôts et taxes par village. Le Conseil communal avait prévu un budget annuel total de 1.093.406.328 de Fcfa. Selon le chef du service financier de la mairie de Bla Tièba Sissoko, à la date du 31 décembre 2021, le solde de la mairie au niveau de la perception de Bla était 48.109.087 de Fcfa.
Le thème de cette journée de restitution était «Rôle et missions de la police». Le commissaire principal de police Sékou Dembélé du tout nouveau commissariat a expliqué les rôles et missions de la police qui vient d’ouvrir ses locaux à Bla.
Au terme des échanges, le prix du meilleur contribuable et le drapeau du vainqueur ont été décernés au village de Mamou, classé premier sur 19 villages de la Commune suivi de Toukoro et la 3è place est revenu au village de Bla qui a toujours été dernier du classement depuis 2000.
Ils ont reçu chacun des attestations, des chaises et des nattes. La cérémonie s’est déroulée en présence des chefs de village et quartier, des représentants des services techniques et ONG intervenant dans la Commune, de la Coordination communale des associations et organisations féminines (Cafo), du Conseil communal des jeunes, de la presse et de la société civile.
Moussa OUÉRÉ
Amap-Bla
Rédaction Lessor
Semoirs, charrues de labour, pièces de rechange des tracteurs sont fabriqués par nos artisans. La plupart de ces équipements sont vendus dans les zones de production comme Kita, Sikasso, Bougouni ou Koutiala. Certains fabricants arrivent aussi à écouler leurs produits dans des pays voisins.
Placée sous le thème : « Jeunesse engagée : apprendre et innover pour relever les défis de l’employabilité des jeunes du Mali », la 16ᵉ convention groupée de la zone 4 (Z4) de la Jeune Chambre Internationale (JCI) du Mali s’est tenue samedi dernier, au Centre de formation des collectiv.
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5.000 emplois verts potentiels à identifier, trois propositions de politiques publiques à rédiger et un guide sectoriel à produire. Ce sont quelques objectifs phares du projet «Initiative pour promouvoir l’économie verte et la création d’emplois verts au Mali», officiellement lancé, mer.
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