
La cérémonie d’installation a eu lieu hier dans les locaux de la Chambre
consulaire, sous la supervision du contrôleur des services publics, Aliou
Sissoko. C’était en présence du secrétaire général de la CCIM, Mahamadou Sanogo
et de la quasi-totalité des membres du nouveau bureau mis en place le 21 mai
dernier pour achever la mandature 2021-2025.
La cérémonie a commencé par la remise des
documents de passation de service au nouveau président de la CCIM par le contrôleur
des services publics. Aliou Sissoko a expliqué que la supervision de la
passation du service ressort de leurs missions régaliennes visant à assurer la
bonne gouvernance et la continuité du service public au niveau de tous les établissements
publics.
«On fait la passation en suivant un canevas issu d’une instruction du
Premier ministre en la matière», a-t-il précisé. Et d’ajouter qu’il est présent
à cette cérémonie pour s’assurer que ce canevas a été respecté afin d’éviter
des problèmes à la personne qui prend fonction. Selon lui, ce canevas porte sur
la présence de quatre points dans le procès verbal de passation. «Il s’agit
d’un aperçu du service de l’entité, la situation du personnel, la situation
financière de la structure et les dossiers en instance», a-t-il cité.
Le secrétaire général de la CCIM a, au nom du
personnel, félicité le nouveau président et son bureau et rassuré de la
disponibilité du personnel. «De notre côté, nous n’allons pas faillir. Vous
pouvez compter sur nous tout comme nous comptons énormément sur vous», a déclaré
Mahamadou Sanogo. Et d’indiquer que le personnel mène une mission publique dont
l’objectif est d’améliorer la qualité du service en évitant la corruption et la
lourdeur. «Nous sommes là pour coordonner les missions que vous avez décidées
et qui sont dans votre programme d’activités conformément aux procédures
publiques», a dit Mahamadou Sanogo à l’endroit du nouveau président.
Ce dernier a salué les autorités pour leur dévouement en faveur du développement du pays. «Je m’efforcerai d’être à la hauteur de la mission qui m’a été confiée. Nous avons commencé les activités prioritaires de notre mandat qui consistent à mener des réflexions pour l’industrialisation du pays», a expliqué Mandiou Simpara, avant de préciser que le Forum de Ségou était inscrit dans ce cadre.
Amadou GUEGUERE
Semoirs, charrues de labour, pièces de rechange des tracteurs sont fabriqués par nos artisans. La plupart de ces équipements sont vendus dans les zones de production comme Kita, Sikasso, Bougouni ou Koutiala. Certains fabricants arrivent aussi à écouler leurs produits dans des pays voisins.
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