
La délégation a
fait escale à la mairie de Samabogo avant de rallier le quartier Koziésso où
l’acte odieux a été commis. C’est ce jeudi 10 novembre 2022, aux environs de 23
heures que la triste information nous est parvenue par le canal de Sibiry
Coulibaly, maire de la Commune de Samabogo.
Elle précisait qu’un sexagénaire a
assassiné son épouse également âgée de
63 ans aux environs de 16 heures dans sa maison. Selon nos sources, c’est aux
environs de 16 heures 30 minutes, que le fils aîné du suspect, un certain
Daouda domicilié à Koziésso hameau, a demandé à sa femme de se rendre à la
maison pour les préparatifs du dîner. La femme s’exécuta sans broncher. Arrivée
à la maison, elle s’est pliée aux salutations usuelles en langue minianka.
La
dame a salué à trois reprises sans recevoir la moindre réponse dans la cour de
la maison. Tiquée, elle jeta un coup d’œil
dans la chambre de sa belle-mère. Elle a été désagréablement surprise de
constater que cette dernière gisait dans une marre
de sang.
Mystère total après un acte odieux
Aussitôt, la panique s’empara d’elle. Sans perdre de temps,
elle a alerté les 2 fils qui se trouvaient dans les champs. Ces derniers se
sont vite transportés sur les lieux pour faire eux aussi la découverte macabre.
La vieille femme était allongée à terre, égorgée. L’enterrement de la pauvre
vieille femme, « froidement assassinée par son époux », selon les premières
informations, a eu lieu le vendredi 11 novembre 2022 à 11 heures dans le cimetière
de Bogoni en présence des autorités locales.
La sexagénaire laisse derrière
elle 4 enfants, dont 2 filles. Selon le maire de la Commune rurale de Samabogo,
Sibiry Coulibaly, au moment où les faits se produisaient, tous les membres de la
famille se trouvaient au champ, exceptés les deux vieilles personnes, à savoir
le présumé auteur des faits et la victime. D’où de lourdes soupçons sur le
vieil homme. Pour le moment, aucun indice n’a été signalé sur le/ou les vrais
auditeurs de cet acte odieux. Les enfants qui avaient été alertés n’ont pu que
constater les dégâts. Après, rien.
Selon certaines indiscrétions, sans pouvoir avancer une
quelconque cause, le vieux D.N Coulibaly
qui a disparu après les faits, serait le suspect numéro un de cet assassinat
odieux. Au nom des autorités administratives, le préfet a présenté ses condoléances
à la famille de la défunte. Le chef de l’exécutif local qui a fermement condamné
cet assassinat barbare, a demandé aux forces de sécurité de tout mettre en œuvre
pour mettre la main sur le suspect fugitif afin qu’il réponde de son acte
devant la justice. Pour l’instant, c’est un mystère total qui entoure la mort,
dans des conditions non encore élucidées, de cette vieille femme.
Moussa OUERE
AMAP/Bla
Rédaction Lessor
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