Trente-cinq orpailleurs clandestins illégaux de nationalité étrangère ont été arrêtés et leurs matériels saisis. L’annonce a été faite par le ministère de tutelle qui ne donne pas de précision sur les nationalités des personnes arrêtées.
Dans un communiqué publié pour la circonstance, le département de tutelle explique qu’une dizaine d’orpailleurs clandestins ont été arrêtés le 27 mars dernier dans la localité de Tombola, dans la Commune rurale de Nounga, Cercle de Kangaba. Ils étaient sur le permis de recherche de Falcon Gold. Les équipements et les matériels saisis sont composés de 7 pelleteuses, deux pick-up, 4 motopompes, autant de groupes électrogènes et 2 tricycles.
Le département de tutelle poursuit qu’une autre opération menée, début février dernier, a conduit au démantèlement de trois sites à Dogofili. À cette occasion, 11 orpailleurs clandestins de nationalité étrangère ont été mis aux arrêts et du matériel saisi.
En janvier 2023, selon toujours la même source, quatre orpailleurs clandestins étrangers ont été interpellés à Fekola, et trois autres l’ont été sur un site d’orpaillage illégal à Sari. Les trois derniers exploitaient illégalement le permis de la société Oklo B2Gold. Toujours dans la Région de Kayes, les autorités ont fermé un site d’extraction frauduleuse d’or à Kandiolé, le 7 novembre 2022. Sept orpailleurs clandestins étrangers dont une femme y ont été interpellés.
Ces différentes opérations ont été menées par une brigade composée du ministère des Mines, les Forces de sécurité et la direction nationale de la géologie et des mines.
Ces opérations sont consécutives à l’exploitation frauduleuse d’or dans les zones aurifères du pays, selon la même source qui précise que les individus arrêtés ont été mis à la disposition de la justice.
Tamba CAMARA
En l’absence de son époux, elle n’a pas pu résister à la tentation. Elle a fini par contracter une grossesse et s’est débarrassée de son enfant en le jetant dans un canal. Les juges ont dit le droit.
Il s’en était pris à une septuagénaire lorsque cette dernière se rendait à la mosquée pour la prière de l’aube. Sous la menace d’une arme, il l’obligea à se déshabiller avant de voler son argent.
Son patron lui vouait une confiance aveugle. Il en a profité pour le «poignarder dans le dos» avant de se retrouver derrière les barreaux.
Ils ont minutieusement organisé une opération, l’ont rapidement exécuté et se sont fondus dans la nature avec une somme considérable.
Pour laver l’honneur de leur famille, il a maintenu son frère cadet sous l’eau jusqu’à ce que mort s’en suit et évoque un acte involontaire. Les jurés ont une autre lecture des faits.
Abandonnée par son mari alors qu’elle était enceinte, elle accoucha et jeta son nouveau né dans une fosse sceptique. Puis, elle justifie cet acte par le désespoir.