
La cérémonie d’ouverture de
cet atelier était présidée par le secrétaire général du ministère de l’Économie
et des Finances, Abdoulaye Traoré. Il avait à ses côtés, la coordinatrice du
Projet Pafeem, Mme Touré Fatoumata Coulibaly, et le responsable des opérations
de la Banque mondiale, Kofi Nouvé.
Cet atelier avait pour objectif de créer un cadre d’échanges
entre les différents acteurs (réels et potentiels) du Pafeem en vue de stimuler
son appropriation par les partenaires et bénéficiaires directs et indirects. également,
il s’agissait de mettre en place les conditions d’une bonne implication des
différentes parties prenantes à travers le recueil de leurs préoccupations,
observations et recommandations éventuelles sur la mise en œuvre, la
gouvernance et autres domaines d’intérêt du projet.
La coordinatrice du Pafeem a indiqué que cette rencontre est
le lieu d’expliquer aux partenaires et aux bénéficiaires, les actions initiées
et les solutions apportées par ce Projet mis en œuvre depuis octobre 2021 pour
une durée de cinq ans. Mme Touré Fatoumata Coulibaly a rappelé que le Projet,
financé à hauteur de 60 millions de dollars US (environ 35,08 milliards de
Fcfa), est divisé en cinq composantes.
Les trois premières sont articulées
autour de la promotion de l’inclusion financière qui se fait à travers les
appuis ciblés au niveau des institutions de microfinance qui sont pourvoyeuses
de crédits et de microcrédits à l’endroit de cibles servis. Ces composantes
prennent aussi en compte le développement de la technologie financière pour améliorer
l’inclusion financière. Quant aux deux autres composantes, elles sont relatives
à l’urgence et à la gestion de projets.
Selon la coordinatrice, environ 12.600 femmes et jeunes sont
ciblés pour les activités génératrices de revenus (AGR) dans les Régions du
Centre et du Nord du pays. L’objectif, a-t-elle précisé, est d’éviter aux
jeunes d’aller vers des travaux illicites. Ainsi, des petits travaux de réfection
et d’entretien des routes sont initiés à leur endroit.
Pour le responsable des opérations de la Banque mondiale,
cet atelier permet de mettre les principaux acteurs sur la même longueur d’onde
et créer une certaine convivialité entre les partenaires. Kofi Nouvé s’est réjoui
de la collaboration qui existe entre son institution et le ministère de l’Économie
et des Finances. Toute chose qui leur permet de répondre aux problématiques de
l’accès au financement dans le secteur privé.
Le secrétaire général du ministère de l’Économie et des
Finances a affirmé que l’objectif recherché à travers cet atelier est de
garantir en aval, l’engagement et l’accompagnement de tous les acteurs, à tous
les niveaux. Abdoulaye Traoré a expliqué qu’une stratégie d’intervention
appropriée a été initiée et mérite d’être connue par toutes les parties
prenantes pour une mise en œuvre cohérente des activités.
Cette stratégie
consiste, selon lui, à s’appuyer sur les efforts du gouvernement pour renforcer
la stabilité, la résilience et la capacité d’intermédiation du secteur
financier malien en général et en particulier le Système de financement décentralisé
(SFD).
Anta CISSÉ
Rédaction Lessor
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