
Notre pays y a dédié, par un
décret pris en 2010, toute une semaine qui offre l’occasion à l’Office central
de lutte contre l’enrichissement illicite (Oclei) d’amplifier ses actions de
sensibilisation contre ce fléau.
C’est dans cet esprit que l’Office organise,
depuis hier dans un hôtel de la place, un atelier de vulgarisation du «Code de
déontologie de l’agent des impôts dans la perspective d’une approche
déontologique dans la lutte contre la corruption et l’enrichissement illicite».
La
cérémonie d’ouverture des travaux a été présidée par le président du Pôle des
préventions et membre du conseil de l’Oclei, Waly Sékou Traoré. C’était en
présence de la représentante du directeur général des impôts, Mme Sow Assanatou
Bouaré.
Cette dernière a estimé que cet atelier permettra aux participants de
connaître les enjeux et les défis liés à l’amélioration de la qualité des
ressources humaines dans l’administration publique, en termes d’engagement,
d’intégrité et de probité.
Aussi, contribuera-t-il à renforcer leurs capacités
sur la connaissance et le respect des règles de déontologie et d’éthique dans
l’accomplissement de leurs fonctions. Mme Sow Assanatou Bouaré a, en plus,
évoqué l’impact positif que pourrait avoir cette rencontre sur la performance
de l’administration fiscale et sur la qualité des services rendus aux usagers.
Pour sa
part, Waly Sékou Traoré s’est appesanti sur l’importance de ces échanges basés
sur l’information et la sensibilisation. Pour lui, certains travailleurs
peuvent fauter non pas par vice, mais par ignorance. D’où l’intérêt de mettre
beaucoup plus l’accent sur la sensibilisation que sur la sanction.
Faut-il le
rappeler, le code de déontologie est la règle qui définit le comportement et
établit l’ensemble des obligations du fonctionnaire ou de tout autre agent dans
le cadre de sa profession. Il doit servir de bréviaire à tous les agents,
particulièrement ceux qui animent l’administration chargée de la gestion du
processus de la chaîne d’imposition.
Autrement dit, celle qui va du recensement
et de l’émission jusqu’au recouvrement, sans préjudice de l’action en justice,
le cas échéant, pour lutter contre l’incivisme et la fraude fiscale.
Kadiatou OUATTARA
Rédaction Lessor
Semoirs, charrues de labour, pièces de rechange des tracteurs sont fabriqués par nos artisans. La plupart de ces équipements sont vendus dans les zones de production comme Kita, Sikasso, Bougouni ou Koutiala. Certains fabricants arrivent aussi à écouler leurs produits dans des pays voisins.
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