La rencontre a été initiée par l’Unicef en partenariat avec l’Amap et l’Urtel
Initiée par l’Unicef en partenariat avec l’Agence malienne de presse et de publicité (Amap) et l’Union des radiodiffusions et télévisions libres du Mali (Urtel), cette session a regroupé une quarantaine de journalistes de la presse écrite et audiovisuelle des Régions de Mopti, Bandiagara et Douentza. Elle s’inscrivait dans le cadre de la mise en œuvre du Projet d’autonomisation et d’employabilité des jeunes dans les zones affectées par la crise humanitaire au Mali (Pafeem). Il est financé par la Banque mondiale à travers l’Unicef et exécuté par Apidev.
La cérémonie d’ouverture de la rencontre était présidée par le conseiller aux affaires administratives et juridiques du gouverneur, Abdoulaye Daga Théra. C’était en présence du représentant du chef de bureau l’Unicef Mopti, Léon Paul Rabarijoana, la chargée à la communication de l’Unicef Bamako, Fatou Dieng, le chef d’antenne régionale du Pafeem, Gouro Étienne Kassogué et le coordinateur de l’Urtel Mopti, Oumar Diabaté.
Pendant les deux jours de formation, les participants ont échangé sur le concept de communication sensible au conflit, le rôle des journalistes et des médias dans la prévention et la résolution des conflits, les techniques de communication pour prévenir l’escalade des tensions et promouvoir le dialogue. Les bonnes pratiques pour une utilisation responsable des réseaux sociaux, le fact-checking et la vérification de l’information en ligne, le traitement de l’information par les médias locaux en période de crise et la communication sur le vivre ensemble sont des thématiques qui ont été aussi développées au cours de cette session.
À l’ouverture des travaux, le représentant du chef de bureau de l’Unicef a rappelé que dans le contexte de fragilité, le sujet de la gestion efficace de la communication sensible au conflit est sans nul doute d’une importance capitale en vue de garantir la paix et la cohésion sociale au sein de nos communautés. Selon Léon Paul Rabarijoana, cette session vise à outiller les journalistes en connaissances sur la communication sensible au conflit, le traitement de l’information de manière impartiale pour la promotion de la paix.
«Le souhait de l’Unicef, a-t-il indiqué, est qu’à l’issus de cette formation les participants puissent imaginer la mise en place des cellules de communication de crise à l’échelle communale, locale et régionale capables de détecter les fausses informations avant qu’elles ne prennent de l’ampleur et nuire à la coexistence pacifique».
Le représentant du gouverneur a rappelé l’importance de la presse pour la reconstruction du tissu social et le renforcement des capacités des femmes et des hommes qui animent ces organes. Abdoulaye Daga Théra a salué l’Unicef et ses partenaires pour tous les efforts qu’ils déploient pour le relèvement économique et social de nos régions.
Dramane COULIBALY / Amap - Mopti
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