
Au regard des «enjeux énormes» liés à la diffusion de
cette information financière, l’Association professionnelle des banques et établissements
financiers du Mali (APBEF) rassure sa clientèle quant au respect par ses
membres des normes communautaires.
«L’Association professionnelle des banques et établissements
financiers du Mali (APBEF) fidèle à sa tradition de totale transparence vis-à-vis
de la population en général et de la clientèle en particulier rassure quant à
l’engagement de ses membres à toujours œuvrer pour le respect des règles
prudentielles de la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO)»,
assure l’organisation dans un communiqué publié hier dont l’authenticité a été
confirmée auprès d’elle. Elle ajoute que ses membres continueront à respecter
leurs engagements vis-à-vis de la clientèle et des partenaires.
Par ailleurs, le communiqué ne confirme ni n’infirme la
fiabilité des informations distillées sur les réseaux. Cette prudence s’expliquerait,
selon nos sources, par le fait que l’APBEF ne dispose à ce stade d’aucune
information officielle faisant état de cette «créance douteuse».
Il faut rappeler que la Commission bancaire de l’Union économique
et monétaire ouest-africaine (Uemoa) a été créée par convention signée par les
ministres des Finances des États membres de l’Uemoa le 24 avril 1990 à
Ouagadougou, dans le but de «contribuer à assurer une surveillance uniforme et
plus efficace de l’activité bancaire et une intégration de l’espace bancaire
dans l’Uémoa». Elle exerce les pouvoirs qui lui sont attribués dans l’annexe à
la Convention sur le territoire de chacun des États membres.
Ces pouvoirs se rapportent notamment : à l’agrément et au retrait d’agrément des établissements de crédit, au contrôle des établissements de crédit et des systèmes financiers décentralisés. Ils se rapportent également aux mesures administratives et sanctions disciplinaires à l’encontre des établissements assujettis ou des dirigeants responsables.
Cheick Moctar TRAORE
Semoirs, charrues de labour, pièces de rechange des tracteurs sont fabriqués par nos artisans. La plupart de ces équipements sont vendus dans les zones de production comme Kita, Sikasso, Bougouni ou Koutiala. Certains fabricants arrivent aussi à écouler leurs produits dans des pays voisins.
Placée sous le thème : « Jeunesse engagée : apprendre et innover pour relever les défis de l’employabilité des jeunes du Mali », la 16ᵉ convention groupée de la zone 4 (Z4) de la Jeune Chambre Internationale (JCI) du Mali s’est tenue samedi dernier, au Centre de formation des collectiv.
Ils sont 512 déplacés provenant des régions les plus affectées par la crise sécuritaire à trouver refuge au Centre Mabilé, au cœur de la capitale malienne. Bien qu'insuffisant, le soutien des acteurs humanitaires locaux et internationaux réconforte ces sinistrés Situé en Commune VI du D.
5.000 emplois verts potentiels à identifier, trois propositions de politiques publiques à rédiger et un guide sectoriel à produire. Ce sont quelques objectifs phares du projet «Initiative pour promouvoir l’économie verte et la création d’emplois verts au Mali», officiellement lancé, mer.
Le constat a été fait par le ministre des Mines, Amadou Keïta, qui a visité les lieux la semaine dernière.
La 5è session du comité de pilotage du Programme de développement de la zone spéciale de transformation agro-industrielle des Régions de Koulikoro et péri-urbaine de Bamako (PDZSTA-KB) s’est tenue, hier, dans les locaux du ministère de l’Agriculture..