La cérémonie d’ouverture était présidée par le préfet du Cercle de Ouélessébougou, Moussa A. Sagara. C’était en présence du directeur national de la pédagogie (DNP), Mahamadou Niaré, des personnes ressources des directions nationales de la pédagogie et de l’enseignement fondamental, des conseillers pédagogiques, mais aussi des inspecteurs de l’enseignement et d’autres acteurs clés du système éducatif malien. Cet atelier qui s’étendra sur deux semaines vise à «produire des livrets de lecture et de mathématiques en français et en Bamanankan pour les classes de 1ère et 2ème années, afin de contribuer à l’amélioration de la qualité de l’enseignement».
Selon le DNP, représentant le ministre de l’Éducation nationale, «cette première session durera 15 jours. Cet intrant doit être élaboré dans le cadre du Programme décennal du développement de l’éducation, deuxième génération (Prodec2)». L’élaboration de ces ouvrages est importante pour le département en charge de l’Éducation dans la mesure où elle contribue à l’amélioration de la qualité de l’enseignement et l’apprentissage au niveau du fondamental, a déclaré Mahamadou Niaré.
Il a également rappelé son devoir en tant que représentant d’une structure technique du ministère de l’Éducation nationale, chargée de la Politique de conception, d’élaboration et du suivi de la mise en œuvre des manuels scolaires et des matériels didactiques. Mais aussi de veiller au bon déroulement de la session. Et de solliciter l’implication de tous les participants pour honorer les attentes et relever les défis afin que nos enfants des classes concernées puissent bénéficier d’un document pour améliorer leurs conditions d’apprentissage.
De son côté, la coordonnatrice du Miqra, Mme Fatoumata Bah, a réaffirmé l’engagement constant de son organisation aux côtés des autorités pour promouvoir un accès équitable à une éducation inclusive et de qualité, gage d’un développement durable. Dans son discours d’ouverture, le préfet du Cercle de Ouélessébougou a insisté sur le caractère stratégique de cet atelier. «La confection de ces manuels est bien plus qu’un simple exercice académique», a déclaré Moussa A. Sagara. «C’est un acte fondateur pour l’avenir de nos enfants.
En leur offrant des outils dans une langue qu’ils comprennent et maîtrisent, élaborés par nos experts de l’éducation nationale. Nous levons une barrière à l’apprentissage et nous plantons la graine de la réussite scolaire», a-t-il indiqué. Il a aussi salué l’engagement des autorités à l’égard du secteur de l’éducation, notamment à travers la DNP. Pour le préfet, cet effort cadre bien avec les objectifs du Miqra.
Moussa A. Sagara a rendu un vibrant hommage à tous les partenaires techniques et financiers de l’éducation qui accompagnent au quotidien, le gouvernement et les collectivités territoriales dans la promotion de l’éducation et l’amélioration de la qualité de l’enseignement.
Les travaux de l’atelier consisteront en des sessions de conception, de rédaction, de relecture critique et de validation collégiale des contenus des différents livrets. Un résultat final très attendu par l’ensemble de la communauté éducative malienne.
Abdoulaye COULIBALY
Amap-Ouélessébougou
Rédaction Lessor
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