À Bamako, il existe un peu partout des commerçants et revendeurs clandestins de pesticides. Dans la circulation, dans les boutiques des quartiers et dans les marchés hebdomadaires, ils proposent des produits pouvant combattre les nuisibles sans l’autorisation des structures compétentes et en violation fragrante de la loi d’homologation et d’autorisation. Une pratique dangereuse à laquelle les pouvoirs publics doivent mettre fin
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