
Ça été le cas, mardi dernier, lorsque, sur les réseaux sociaux des internautes faisaient état de la présence d’un sac à dos piégé au niveau de la zone industrielle à Sotuba, en Commune II de Bamako.
Nos sources policières ont apporté un démenti formel sur ces informations qui ont semé le doute et la panique dans l’esprit de nombreux de nos concitoyens pendant un bout de temps. Surtout ceux habitant dans le voisinage plus ou moins immédiat. Les mêmes sources sécuritaires expliquent qu’il s’agit d’un sac à dos retrouvé sous le hangar des policiers à l’entrée de la Zone Industrielle de Bamako près de l’immeuble Djiné.
« Ce n’était rien de dramatique », nous-a-t-on dit.
En effet, mardi dernier dans la matinée, les policiers en poste ont découvert sous leur hangar un sac à dos. Par mesure de prudence, un périmètre de sécurité a été vite établi par les forces de sécurité et une équipe de déminage de la BSI est venue pour constater et éventuellement écarter le danger. L’intervention a été de courte durée, car le sac à dos ne contenait rien. Plus de peur que de mal.
Tamba CAMARA
La Police du 2e Arrondissement de Sikasso a arrêté un présumé arnaqueur, « M.C », au quartier Wayerma II. Le suspect est accusé d’avoir orchestré deux opérations frauduleuses via le service Orange Money, causant un préjudice de plus de 150 000 FCFA. Cet individu qui sévissait à Sikasso.
Le procès très attendu de l’artiste Sean Combs, alias P. Diddy, s’est ouvert ce lundi 5 mai 2025 à New York pour une durée d’au moins huit semaines au tribunal de Manhattan.
Ce Lundi 28 avril, après de fortes pluies qui ont arrosé Bamako et ses environs, une femme d’un certain âge a perdu la vie de manière tragique à Djélibougou Doumanzana, en Commune I du District de Bamako.
Une jeune fille de 18 ans s’est suicidée jeudi 24 avril dans la matinée en se jetant du haut de l’étage de son établissement.
Si pour les uns, la pratique vise à officialiser leur relation amoureuse, pour d’autres, c’est pour exprimer la consolidation de leur union.
Par des techniques dont ils détenaient les secrets, ils donnaient l’impression à leurs victimes qu’ils avaient la possibilité de multiplier les billets de banque. En réalité il n’en était rien.