
Les acteurs publics et privés du secteur du développement
rural ont examiné et analysé l’étude de base de la composante SAA du
Projet «Développement intégré du secteur semencier au Sahel ISSD Sahel
(Mali-Niger)». Tenu hier à cet effet, l’atelier d’un jour portant uniquement
sur le Mali devrait permettre de valider les résultats de ces travaux portant
sur le secteur semencier du Mali. L’ouverture de cette rencontre a été présidée
par le secrétaire général du ministère du Développement rural, Daniel Siméon
Kelema. C’était en présence de la directrice-pays de Sasakawa Africa
Association (SAA), Dr Sokona Dagnoko Sissoko et du représentant du projet ISSD
Sahel, Souleymane Traoré.
Organisé par SAA, l’atelier vise à garantir l’efficience et
l’efficacité de ses interventions dans notre pays. Il permettra notamment aux
parties prenantes d’apporter leurs contributions et amendements pour l’amélioration
de cette étude de base. Exercice qui vise à faire l’état des lieux du secteur
semencier au Mali en prenant en compte les systèmes formel, informel et
communautaire de semences. Et ce, en mettant l’accent sur la situation de référence
des principaux indicateurs du projet liés aux résultats attendus.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la composante précitée,
SAA a commis une étude de base des secteurs semenciers du Niger et du Mali qui
met l’accent sur les indicateurs clés du projet ISSD Sahel dans chaque pays, a
expliqué sa directrice-pays. Concernant le Mali, a souligné Dr Sokona Dagnoko
Sissoko, le rapport provisoire de cette enquête a été soumis à son projet par
l’équipe des consultants. Cet atelier a été initié afin de recueillir les
contributions, les amendements et les améliorations des parties prenantes au
projet ISSD Sahel à apporter à cette étude de base, a-t-elle précisé. À cet
effet, elle a invité les participants à ne ménager aucun effort pour apporter
leurs contributions constructives aux débats qui permettront de finaliser le
rapport de ce travail de recherche.
Le but étant de valider les résultats de ladite étude, selon
le secrétaire général du ministère du Développement rural. Les résultats
attendus de cet atelier sont, entre autres, le partage de l’information
sur la situation du secteur semencier au démarrage du projet avec des acteurs
des zones cibles et de mise en œuvre du projet, l’amendement de façon
pertinente des propositions et recommandations faites par les consultants pour
l’amélioration de l’approvisionnement et l’utilisation des semences de qualité
par les agriculteurs et l’élaboration de recommandations sur le contenu du
document, a relaté Daniel Siméon Kelema.
Au cours des échanges, les consultants ont partagé, lors de leur mission, les informations relatives aux taux d’adoption des nouvelles variétés, d’utilisation des semences certifiées, la règlementation semencière, les paramètres agronomiques, socioéconomiques, etc. Rappelons que le Projet ISSD Sahel, dont la durée est de quatre ans, est financé par l’ambassade royale des Pays-Bas. D’un montant de 11 millions d’euros (environ 7,2 milliards de Fcfa), il sera exécuté par un consortium de quatre partenaires à savoir le Centre international pour le développement des engrais (IFDC), leader du consortium, SAA, l’Institut royal des tropiques-Kit et l’Institut international de recherche sur les cultures des zones tropicales semi-arides (Icrisat).
Fadi CISSE
Semoirs, charrues de labour, pièces de rechange des tracteurs sont fabriqués par nos artisans. La plupart de ces équipements sont vendus dans les zones de production comme Kita, Sikasso, Bougouni ou Koutiala. Certains fabricants arrivent aussi à écouler leurs produits dans des pays voisins.
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