Mme Zéinab Evelyne Jacques, présidente de la Coalition
Le chargé des projets à la Cofor-Mali, Aly Zoromé a indiqué que le plan d’actions 2025 de son association est décliné en cinq projets. Le premier est axé sur la formation des motos taxi (Telimani) et tricycle (Katakatani) sur le Code de la route. Le second porte sur les futurs jeunes du Mali Kura et citoyenneté à la base. Le projet 3 concerne la vulgarisation et la promotion de l’Alliance des États du Sahel (AES).
La promotion de l’entrepreneuriat des Jeunes est l’intitulé du projet 4. Quant au projet 5, il est basé sur le leadership et l’engagement politique des jeunes. La présidente de la Cofor-Mali, Mme Zéinab évelyne Jacques, a fait le résumé et expliqué le bien fondé des 5 projets aux partenaires.
Depuis sa création en juin 2021, la Coalition, a rappelé sa présidente, s’est imposée comme un acteur clé du développement des jeunes, la promotion de l’emploi. Cela avec un engagement sans faille pour l’autonomisation des jeunes, la promotion de l’emploi et la consolidation de notre tissu socio-économique. L’année 2025, a constaté la patronne de la Cofor-Mali, s’annonce décisive. «Et c’est dans cette dynamique que nous avons conçu un plan d’actions ambitieux, structuré et réaliste en parfaite synergie avec nos partiaires institutionnels et sociaux», a justifié Mme Zéinab évelyne Jacques.
L’approche de la Cofor-Mali, a-t-elle précisé, repose sur 3 axes majeurs : l’insertion socioprofessionnelle et l’entrepreneuriat des jeunes, l’amélioration de la sécurité routière et de la mobilité urbaine et le renforcement de la participation citoyenne et du leadership jeune. «Nous sommes convaincus qu’aucune transformation réelle ne peut être menée sans une collaboration active entre les acteurs publics, privés et de la société civile.
C’est pourquoi, nous comptons faire de ce plan d’actions une réalité tangible au service des jeunes, du développement de notre nation», a déclaré la présidente de la Cofor-Mali. Jugeant que l’engagement des partenaires est la clé de la réussite collective, Mme Zéinab évelyne Jacques les a invités à faire de 2025 une année de progrès, d’innovation et d’opportunités.
Le plan d’actions et la vision 2025 de la Cofor ont acquis l’adhésion de plusieurs partenaires. Parmi eux, le coordinateur du baromètre Cheick Oumar Soumano qui reconnaît que tous les aspects ont été pris en compte dans le plan d’actions. Il a souhaité que la coalition insère dans son plan la préparation des jeunes à la lutte contre la corruption, la délinquance, mais aussi intégrer la bonne gouvernance et l’esprit patriotique.
Crée le 15 juin 2021 par des jeunes de partis politiques, des organisations de la société civile, la Coalition des forces juvéniles pour le renouveau a pour missions de rassembler une grande majorité de jeunes leaders au sein d’une coalition, d’encourager la participation des jeunes à la gestion des affaires publiques et politiques, d’œuvrer à la formation massive des jeunes sur les notions politiques, la gouvernance publique et la citoyenneté active.
Elle s’emploie à promouvoir une culture politique et citoyenne chez les jeunes, à contribuer à l’éveil de conscience politique chez les jeunes, à identifier et accompagner les initiatives jeunes pour le progrès économique et social, à favoriser la nomination des jeunes dans les instances de prises de décision et assurer la veille citoyenne et politique. Rappelons que la cérémonie a enregistré la présence des anciens ministres Me Mountaga Tall, Amadou Omar Hass Diallo et Mahamane Baby
Sidi WAGUE
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
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Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
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