
L’information a été donnée, hier dans un hôtel de la place lors d’une conférence presse animée par le président de l’AIK, Lassana Coulibaly. C’était en présence de plusieurs membres de son association. Cette initiative culturelle vise à contribuer à l’ancrage d’une culture de paix, de cohésion sociale et du vivre-ensemble, inspirée des mécanismes endogènes de prévention et de gestion de conflits.
Cette année, le festival prévoit un programme innovant, soutenu par des activités socio-économiques, artistiques et culturelles. Bien avant l’ouverture officielle, l’agenda prévoit une résidence de cinq jours pour les enfants, un coaching en entrepreneuriat et management culturel intitulé «Kéné-barra» pour les acteurs culturels et des activités à l’attention des enfants comme les contes et lectures publiques.
L’événement proprement dit prévoit, sur le plan artistique et culturel, une série de prestations des troupes traditionnelles des trois pays et la valorisation des instruments traditionnels comme le M’polon, le Buru, le Wassamba, etc. Il y aura des nuits dédiées à la parenté, Des panels, des rencontres professionnelles et des visites de sites touristiques et naturels.
Le Festival interculturel de Kénédougou est une réponse concrète aux menaces terroristes et à la désintégration sociale qui frappent notre région. Le Kénédougou, qui s’étend du Mali, au Burkina Faso en passant par la Côte d’Ivoire, a toujours été un espace de fraternité et de partage.
«Nos populations ont un passé, des langues, des coutumes et des activités économiques communes, tissant des liens de bon voisinage qui, n’ont pu être brisés par la colonisation.
Cependant, le terrorisme a malheureusement fragilisé ces liens, semant la haine, la violence et l’intolérance. Notre jeunesse, désorientée et désœuvrée, est particulièrement vulnérable à ces maux d’où le choix du thème», a expliqué Lassana Coulibaly.
Le conférencier a invité à se retrouver dans la capitale du Kénédougou pour célébrer ensemble la diversité culturelle de l’espace à partir du 1er octobre
Mohamed Lamine H DICKO
Rédaction Lessor
La phase régionale de la Biennale artistique et culturelle qui se tiendra à Tombouctou en décembre prochain a été lancée dans la Région de Mopti, mardi dernier dans la salle de l’ex-office cinématographique national du Mali (Ocinam) à Mossinkoré (un quartier populaire de Mopti), par le d.
Pendant les six jours que dure la semaine régionale, les troupes des 13 cercles de la région rivaliseront de talents et de savoir-faire dans différentes disciplines comme le solo de chant, la danse traditionnelle, l’ensemble instrumental, le chœur, la musique.
Pendant 30 jours, elle partagera ses expériences avec la jeunesse dans le cadre de la mise en œuvre du projet Culture 2025.
Le Comité national malien du Conseil international des monuments et des sites (Icomos-Mali) a signé, lundi dernier dans ses locaux, une convention tripartie avec Icomos-Chine et l’Institut de formation et de recherche sur le patrimoine mondial pour la région Asie-Pacifique (WHITR-AP) sous l’Ã.
On peut s’aventurer à dire que Kabakoo Academies ose une fusion avant-gardiste de l’Intelligence artificielle (IA) et de la culture, en présentant en exclusivité un film intitulé « La voie du Donsoya ». Il s’agit du tout premier film d’animation explorant la richesse du Donsoya, une in.
L’Association So-Dew a présenté, samedi dernier dans les locaux de Blonba un spectacle inédit et créatif intitulé : «Le Mali dans le temps». C’était devant un public de professionnels. Cette prestation de moins de 60 minutes a plongé le public dans un univers de la danse traditionnelle,.