![L’art en héritage](http://admin.lessor.ml/assets/img/posts/1644567130.jpg)
Aujourd’hui, Ballo est un artiste jouissant d’une notoriété internationale. Il expose en solo, duo et en collectif au Mali, en Afrique et dans le monde. Il est également membre des collectifs de jeunes artistes réunis au sein de Sanou’Art et Tim’arts, tous deux basés à Bamako au Mali.
Issu d’une famille d’artistes, Ibrahim n’a fait que suivre son destin qui l’avait naturellement guidé dans le métier des arts. Un papa musicien-instrumentaliste et une grand-mère chanteuse ont suffi à donner l’amour des arts au jeune Ibrahim qui depuis à l’école primaire dessinait pour ses amis contre quelques pièces d’argent.
Malgré sa jeunesse, Ibrahim Ballo n’est plus à présenter car ayant participé à de nombreuses expositions sur le continent et au-delà de la Méditerranée. D’abord, sur le plan national, Ibrahim a participé à l’exposition collective de peinture à la Galerie Médina Bamako organisée par le collectif Tim’arts en 2015, sans oublier ses 4 participations successives (de 2014 à 2017) au Festival international des arts visuels (Faiva) organisé par le Centre Soleil du Mali. Un centre culturel qui contribue beaucoup à la promotion des jeunes artistes.
En 2015, Ballo prend part à l’exposition collective d’Angers Jumelage (AAJ) et Amnesty international au 31ème Salon des artistes pour la liberté en France (Angers). En 2016, il participe à une exposition duo à la galerie Tim’arts au Musée du district de Bamako.
Fort de ces expositions, Ballo est invité à participer au Festival Murmures au Burkina Faso en 2016, avant de remporter en 2017 le prix des ateliers Sahm en Arts Visuels lors de la 6ème édition du Festival international des arts visuels au Congo Brazzaville, en 2017.
Ballo était également à la Biennale de Dakar, en 2018. Il participa en 2019 à la Villa Soudan de Bamako et à la Villa Yirisuma du Burkina Faso. à noter que ses œuvres ont été exposées à Akka à Paris (France). Il était également dans la sélection officielle de Ségou’Art cette année (2020). C’est dire combien Ibrahim est sollicité aujourd’hui.
Youssouf DOUMBIA
Grand maître, virtuose, on pourrait multiplier à souhait les épithètes pour qualifier Toumani Diabaté et tous lui siéraient comme un gant. Le maître de la kora, Toumani Diabaté, s’est éteint vendredi dernier à l’âge de 58 ans. Mais comme le dirait le poète, il n’est pas mort parce .
C’est un fait assez rare pour être souligné. Le jeune cinéaste malien Ousmane Samassékou intègre la prestigieuse académie des Oscars (une récompense américaine du monde du 7è art). Une première pour un artiste de chez nous. Il fait désormais partie du club très select des quatre artist.
La prestigieuse cérémonie se tiendra à Johannesburg en Afrique du Sud, le 1er décembre prochain. Elle marquera un retour significatif de l’une des plateformes de récompenses musicales les plus respectées du continent.
Après deux ans d’intenses activités de recherche, de documentation et de sensibilisation, le projet de «Conservation, revitalisation et valorisation du textile au centre du Mali : cas des localités de Bandiagara et de Djenné» montre enfin ses résultats..
C’est le contraire qui aurait surpris les mélomanes, surtout avec la qualité des artistes invités et le savoir-faire organisationnel de cette entité de la Fondation festival sur le Niger.
Une silhouette frêle, habillée en tailleur vert olive, Rokia Koné a enflammé la scène installée au siège de la Fondation Festival sur le Niger, samedi dernier, à l’occasion de la Journée internationale de la musique à Ségou..