
Dans un communiqué, la Maison de la presse du Mali indique avoir « appris avec consternation des sanctions disproportionnées, haineuses et méchantes contre le Mali, notre pays ». La faitière de la presse appelle « l’ensemble des Hommes de médias à plus de responsabilité, de professionnalisme et surtout de patriotisme dans le traitement de l’information » avant d’inviter les autorités de la Transition à « tout mettre en œuvre pour assurer la sécurité de l’ensemble des journalistes et des Hommes de médias pendant ces moments sensibles ».
Sur les réseaux sociaux, le sentiment général qui se manifeste montre de la colère et de l’incompréhension de nombre d’internautes face aux sanctions contre notre pays. Les utilisateurs de la toile se demandent encore pourquoi des pays frères décident d’avoir la main aussi lourde contre le Mali qui paye déjà un lourd tribut à la guerre des influences internationales et géopolitiques. « Sérénité et confiance en l’avenir.
La transition suivra son cours normal quoiqu’il advienne. Notre nation a fait les preuves de sa résilience, donc pas de panique », écrit Nouhoum Sarr, membre du Conseil national de Transition et leader politique. « En allant aux sanctions extrêmes, la Cédéao se décrédibilise totalement », commente de son côté le journaliste Alassane Souleymane, analyste.
Les commentaires ont fusé de toutes les localités du Mali avec des compatriotes qui ont à cœur de s’exprimer sur la situation « Tombouctou. Bientôt une forte mobilisation pour apporter tout notre soutien aux autorités de la Transition (In sha Allah) », peut-on lire sur le mur d’un internaute de Tombouctou. Un tour sur les plateformes à l’étranger permet de se rendre compte que notre pays bénéficie de la solidarité de nombre de ressortissants de pays voisins.
Dans la majorité des commentaires, les ressortissants d’autres pays ne comprennent pas les sanctions contre le Mali. « Le sentiment d’injustice va faire naître chez tous les peuples ouest-africains de la compassion vis-à -vis des voisins frères maliens !!! Cela va renforcer l’identité et le nationalisme malien », lance Elie, un internaute congolais sur Facebook.
Rassemblés par Mohamed TOURÉ
Mohamed TOURE
L’opération se déroulera en trois phases. Elle commencera le 1er octobre et prendra fin le 31 décembre prochain.
Cette édition prévoit de raviver la mémoire collective en valorisant les croyances communes et les pratiques culturelles comme des vecteurs d’unité. Il s’agit aussi de mobiliser les femmes et la jeunesse autour de la transmission des valeurs ancestrales de paix.
La capitale malienne abrite, à partir de ce lundi 15 septembre, la 4è édition de la Semaine nationale de la réconciliation (SENARE). La cérémonie de lancement se tiendra au Centre international de conférences de Bamako (CICB) autour du thème : « Héritage culturel : facteur de paix et de co.
Suite à la destruction d'un aéronef de reconnaissance des Forces armées maliennes, le gouvernement de la Transition a déposé ce jeudi 4 septembre, une plainte contre la République démocratique et populaire algérienne devant la Cour internationale de Justice. L'annonce a été par le gouverne.
Il en résulte une tendance de réalisation de 387 recommandations sur 517, soit 74,85%. Le document déplore certaines lenteurs notamment dans la mise en œuvre des projets industriels, de reboisement et de barrage.
La Cour constitutionnelle a déclaré, lundi dernier, à travers un arrêt la loi n°2024-38/CNT-RM du 5 décembre 2024 portant loi organique fixant le nombre des membres du gouvernement conforme à la Constitution. Cette décision fait suite à une requête du Président de la Transition à l’ins.