Il s’agit de Alghabass Ag Intalla ; Bilal Ag Acherif ; Ibrahim Ould Handa; Fahad Ag Almahmoud ; Iyad Ag Ghaly alias Abou Al Fadal ou Fadel ; Hanoune Ould Ali ; Mohamed Ag Najim ; Achafagui Ag Bouhada ; Housseine Ould Ghoulam ; Amadou Barry alias Amadou Kouffa. Sans oublier tous autres auteurs, coauteurs et complices pour qu'ils répondent de leurs actes devant la justice.
Dans son communiqué rendu public le mardi 28 novembre, le Procureur général près de la cour d’appel de Bamako signale que de l'exploitation de renseignements à lui transmis, il appert la Constitution entre certains individus d'une association ayant pour but de semer la terreur, de porter atteinte à l'unité nationale, à l'intégrité territoriale et à ternir l'image des Forces armées maliennes (FAMa).
« Ces faits révélés étant d'une extrême gravité sont susceptibles de constituer des infractions présumées d'associations de malfaiteurs, d'actes de terrorisme, de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme de détention illégale d'armes de guerre et de munitions et de complicité de ces mêmes faits », fait comprendre Hamadoun dit Balobo Guindo.
Le Procureur général près la cour d'appel de Bamako rappelle que de tels agissements ont provoqué et sont susceptibles de provoquer des victimes civiles et militaires mais surtout vise à faire douter de la capacité des FAMa à exécuter leur mission de défense de l'intégrité du territoire et d'assurer la sécurité des personnes et des biens.
Pour cela, Hamadoun dit Balobo Guindo dit avoir instruit au Procureur de la République du Pôle judiciaire spécialisé en matière de lutte contre le terrorisme et la criminalité transnationale organisée l'ouverture d'une enquête contre les leaders terroristes susmentionnés.
Le Procureur général appelle les populations au calme, à la vigilance et les invite à fournir à la justice toute information susceptible de l'aider dans la conduite des enquêtes.
Souleymane SIDIBE
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.