
À cet égard, le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale du Mali a présenté, lundi dernier, à la Commission de la Cedeao, autorité dépositaire, une notification formelle de cette décision. Et pour informer les États membres de la Cedeao, de l’Union africaine (UA), de l’Organisation des Nations unies (ONU) et de toutes les organisations pertinentes. Le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale du Mali a saisi cette occasion pour renouveler à la Commission de la Cedeao les assurances de sa considération distinguée.
Ce communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale du Mali est intervenu après celui de la Commission de la Cedeao qui avait indiqué qu’elle n’avait pas encore reçu directement une «notification formelle» du Mali, du Burkina Faso et du Niger concernant leur «intention de se retirer de l’organisation». En outre, la Commission de la Cedao avait fait savoir que ces trois «demeurent des membres importants de la Communauté» et que la «Conférence reste déterminée à trouver une solution négociée à l’impasse politique».
Madiba KEÏTA
Depuis son investiture comme président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goïta n’a cessé d’édicter des mesures en vue de dynamiser les secteurs productifs stratégiques pour assurer la sécurité et l’indépendance économiques du Mali..
Dans un communiqué rendu publié hier, le président de la Maison de la presse du Mali, Bandiougou Danté, informe l’opinion nationale et internationale que dans la journée du 4 mai dernier, le siège de sa structure sis à Médina coura en Commune II du District de Bamako a été envahi par des.
Par décret N°2025-0268 du 25 avril 2025, le président de la Transition a institué une opération dénommée «Dougoukoloko» visant à rétablir l’État du Mali dans ses fonctions régaliennes sur toute l’étendue du territoire national, en s’appuyant sur l’action des Forces armées et .
Ce financement est destiné à faire face à la situation d’urgence : chocs climatiques, insécurité alimentaire, déplacements liés aux conflits armés.
La relecture de la Charte des partis politiques ravise aujourd’hui les débats politiques dans notre pays. Le Mali compte actuellement près de 300 partis politiques et lors des Assises nationales de la refondation (ANR) tenues en décembre 2022, la réduction de leur nombre fait partie des recom.
Faut-il dissoudre les partis politiques ? C’est par cette question que Me Cheick Oumar Konaré, avocat au barreau malien et ancien journaliste, verse son analyse sur le débat concernant la réduction du nombre des partis politiques dans le cadre de la relecture de la Charte des partis politiques .