
Le directeur général de la Sorem-Mali SA (g), Tiegoum Traoré et le président du conseil d’administration, Samba Touré
Il a aussi été question du plan stratégique de la société et de son cadre organique ainsi que de la base de rémunération. Les travaux se sont déroulés sous la présidence du président du conseil d’administration, Samba Touré, en présence du directeur général de la Sorem-Mali SA, Tiegoum Traoré. Notre pays est le 3è producteur d’or en Afrique. Durant les trente dernières années, l’État a pris plusieurs mesures permettant aux investisseurs de pouvoir investir facilement au Mali et booster le secteur minier. Et c’est dans cette même dynamique que les autorités ont décidé de créer la Sorem-Mali SA, une entreprise d’État aux capitaux 100% publics qui a pour mission de valoriser le potentiel minéral de notre pays.
«Elle a été créée par le président de la Transition, le colonel Assimi Goïta, pour rechercher, développer et exploiter les ressources du sous-sol de notre pays dans le but de créer de la richesse afin de faire face aux attentes du peuple malien en matière de développement des infrastructures socio-sanitaires, éducatives, routières, ferroviaires, énergétiques, etc.», a expliqué le président du conseil d’administration, Samba Touré.
La Sorem-Mali SA se veut une société mondiale de ressources qui offrira des produits de base, notamment l’aluminium, le cuivre, le minerai de fer, le manganèse, le lithium et l’uranium. «Elle détiendra également des intérêts substantiels dans l’exploitation de l’hydrogène, du pétrole et du gaz naturel», a précisé Samba Touré. Il faut rappeler que cette société est née de la volonté des Assises nationales de la refondation. Et dès sa création, les responsables désignés pour la diriger se sont employés à réunir les conditions optimales permettant à la structure d’accomplir sa mission. «Nous cherchons à développer des projets, tout en recherchant des projets qui peuvent lancer la société», a déclaré le directeur générale de la Sorem-Mali SA, Tiegoum Traoré.
Aminata DIARRA
Semoirs, charrues de labour, pièces de rechange des tracteurs sont fabriqués par nos artisans. La plupart de ces équipements sont vendus dans les zones de production comme Kita, Sikasso, Bougouni ou Koutiala. Certains fabricants arrivent aussi à écouler leurs produits dans des pays voisins.
Placée sous le thème : « Jeunesse engagée : apprendre et innover pour relever les défis de l’employabilité des jeunes du Mali », la 16ᵉ convention groupée de la zone 4 (Z4) de la Jeune Chambre Internationale (JCI) du Mali s’est tenue samedi dernier, au Centre de formation des collectiv.
Ils sont 512 déplacés provenant des régions les plus affectées par la crise sécuritaire à trouver refuge au Centre Mabilé, au cœur de la capitale malienne. Bien qu'insuffisant, le soutien des acteurs humanitaires locaux et internationaux réconforte ces sinistrés Situé en Commune VI du D.
5.000 emplois verts potentiels à identifier, trois propositions de politiques publiques à rédiger et un guide sectoriel à produire. Ce sont quelques objectifs phares du projet «Initiative pour promouvoir l’économie verte et la création d’emplois verts au Mali», officiellement lancé, mer.
Le constat a été fait par le ministre des Mines, Amadou Keïta, qui a visité les lieux la semaine dernière.
La 5è session du comité de pilotage du Programme de développement de la zone spéciale de transformation agro-industrielle des Régions de Koulikoro et péri-urbaine de Bamako (PDZSTA-KB) s’est tenue, hier, dans les locaux du ministère de l’Agriculture..