Placée sous l’autorité du chef d’état-major général des Armées, cette nouvelle unité est chargée de planifier, de coordonner et de conduire les opérations visant à produire des effets opérationnels décisifs. Elle permettra aussi de lutter contre les organisations terroristes ou criminelles ; de participer à des opérations de libération d’otages ; de protéger les hautes personnalités militaires et civiles ainsi que les installations sensibles. Mais aussi de compléter les Forces spéciales au besoin.
Selon le décret n°0250/PT-MR du 15 avril 2024, la nouvelle Force peut intervenir sur l’ensemble du territoire national contre toute menace dirigée contre la défense et l’intégrité du territoire. Elle est dirigée par un officier général ou supérieur qui porte le titre de Commandant de la Force d’Intervention rapide des Armées. «Le Commandant de la Force est nommé par le décret du président de la République, sur proposition du ministre chargé des Forces Armées. Il a rang de sous-chef d’état-major d’Armée», signale la décision.
Selon le même document, le commandant de la Force est secondé par un officier général ou supérieur appelé commandant en second de la FIRA qui le remplace en cas d’absence, d’empêchement ou de vacance. Il est nommé dans les mêmes conditions que le Commandant de la FIRA. Un arrêté du ministre chargé des Forces armées fixe l’organisation et les modalités de fonctionnement de la FIRA.
La création de cette nouvelle unité intervient dans un contexte où l’Armée malienne a réalisé des progrès extraordinaires sur le plan sécuritaire. Cela, nonobstant l’existence de poches de résistance et d’insécurité sur le territoire national.
Grâce à la détermination des autorités de la Transition et au soutien constant du peuple malien, des hommes ont été recrutés, formés, entraînés et du matériel militaire a été acquis avec des partenaires fiables et sincères.
Souleymane SIDIBE
L’acquisition d’aéronefs de combat, des hélicoptères, des drones et radars par les autorités de la Transition a changé la donne dans la lutte contre le terrorisme dans notre pays.
L’entrée ou le séjour d’un étranger est conditionné à la détention préalable de titres et de documents de voyage et ou de séjour. C’est une ordonnance signée le lundi 13 janvier 2025, par le Chef de l’État Nigérien, le Général de Brigade Abdourahamane Tiani qui institue la mesur.
Des frappes aériennes des Forces armées maliennes (FAMa) ont permis de neutraliser le 12 janvier 2025, une vingtaine de terroristes regroupés dans le secteur de BERDOSSO à 74 km au Nord-Est de la ville de Bandiagara, apprend-on par un communiqué de la Direction de l’information et des relati.
Le ministre des Maliens établis à l’extérieur et de l’Intégration africaine, Mossa Ag Attaher, anime depuis Niamey (Niger) une conférence sur la Journée Nationale de la Souveraineté retrouvée.
Le personnel du ministère de l’Administration territoriale et de la Décentralisation (MATD) a présenté hier dans la cour du département ses vœux de Nouvel An au Premier ministre, le Général de division Abdoulaye Maïga..
Mossa Ag Attaher, ministre des Maliens établis à l’Extérieur et de l’Intégration africaine, a procédé, samedi dernier au siège de la Banque sahélo-saharienne pour l’investissement et le commerce (BSIC-Mali), à la remise de 15 tricycles aux associations de jeunes des zones à forte mig.