Visite des installations par les officiels
Toutes choses qui justifient l’opérationnalisation du 2è centre
de secours de la protection civile de Kati, dont la cérémonie d’inauguration a
été présidée, vendredi dernier dans la ville-garnison, par le ministre de la
Sécurité et de la protection civile, le général de brigade Daoud Aly
Mohammedine. C’était en présence du directeur général de la Protection civile,
le général de brigade Boukary Kodio et de nombreux autres invités.
Financé sur le budget national, avec un coût
de réalisation de 202,9 millions (uniquement pour l’infrastructure), ce nouveau
centre va permettre d’optimiser la couverture opérationnelle en réduisant les
délais d’intervention, et améliorer la qualité des secours au profit de la
population.
Le 2è
centre de secours de la protection civile de Kati est composé, entre autres,
d’un poste de garde à l’entrée ; de trois alvéoles pour le parking des
véhicules d’intervention, dont un garage pour la maintenance ; d’un
dortoir composé de trois chambres pour le personnel. S’y ajoutent une
infirmerie avec trois salles et un centre de traitement des alertes avec deux
bureaux.
De même, de nouveaux personnels, notamment plus d’une trentaine de
sapeurs-pompiers, sont prêts pour rendre le service opérationnel. Il est
implanté à proximité d’une caserne militaire hautement stratégique qui comporte
des installations sensibles et nécessite donc une vigilance particulière et un
délai d’intervention à hauteur de souhait en cas de déclenchement du plan
particulier de secours.
«Je sais
pouvoir compter sur votre engagement et de tout le personnel pour poursuivre
les efforts et l’utilisation judicieuse de ce joyau afin de continuer à mériter
la confiance des populations», a déclaré le directeur général de la protection
civile. Le général Boukary Kodio a salué les efforts des plus hautes autorités
du pays qui sont toujours dans la dynamique de renforcement des capacités
opérationnelles des services de la protection civile.
Afin de
pouvoir protéger les personnes et leurs biens, selon le ministre de la Sécurité
et de la Protection civile, les autorités de la Transition travaillent dans le
sens de l’équipement des Forces de défense et de sécurité. Par ailleurs, le
général de brigade Daoud Aly Mohammedine soulignera que Kati se trouve à une
jonction de grands axes, dont l’intense fréquentation provoque de nombreux
accidents.
«Donc, il était vraiment très important pour nous de mettre rapidement en place ce centre, l’équiper pour faire face à ces différents cas d’accidents afin d’apporter au plus près l’assistance et le secours à la population», a-t-il justifié.
Jessica Khadidia DEMBELE
Le problème d’eau, de plus en plus récurrent au Mali, est une réalité bien aigre. Les écoles et les hôpitaux sont des structures qui en pâtissent le plus. C’est pour cette raison que le président de la Transition, le colonel Assimi Goïta, a dédié 2/3 de ses fonds de souveraineté pour.
30 Maliens de l’extérieur ont été délégués pour venir participer à la phase nationale du Dialogue inter-Maliens. Ils ont été reçus par le ministre des Maliens établis à l’extérieur et de l’Intégration africaine, Mossa Ag Attaher, jeudi dernier dans son département, afin de les r.
À travers ses œuvres sociales, le président de la Transition, le colonel Assimi Goïta, continue de favoriser l’accès des Maliens à l’un des besoins les plus précieux : l’eau potable. Les résidents de Dialakorodji et ceux de Sabalibougou Dougourakôrô Plateau, qui faisaient face à une.
La cérémonie de remise du rapport annuel 2023 sur la traite des personnes et les pratiques assimilées au Mali, s’est tenue, vendredi dernier, au ministère de la Justice et des Droits de l’Homme..
L’école Donyasso dans le secteur de Sibiribabougou à Sénou en Commune VI du District de Bamako, ne connaitra plus de pénurie d’eau. Les élèves ne seront plus obligés d’aller de porte en porte pour quémander de l’eau aux résidents du quartier..
Cela fait presque 30 ans que la famille Fofana fournit en eau, à l’aide de son puits, le groupe scolaire Sebe I de Sébénikoro. Les élèves venaient s’approvisionner chaque jour en eau pour leur besoin quotidien et pour prendre soin de leur potager.
