C’était en présence des membres dudit conseil, grossistes et détaillants intervenant dans la chaîne d’approvisionnement.
Cette restructuration, selon le communiqué qui a sanctionné la rencontre, tient compte de la tendance haussière des prix fournisseurs sur le marché international et les frais d’approche.
À cet égard, a précisé Mahmoud Ould Mohamed, il a été convenu ce qui suit : les grossistes vendront le sac de 50 kg à 30.000 Fcfa aux détaillants qui cèderont le kg à 650 Fcfa aux consommateurs.
Une autre décision importante et non la moindre : la réallocation à d’autres opérateurs économiques des quantités non exécutées aux cordons douaniers de contingents arrivés à échéance le 30 juin 2022 et estimés à 31.000 tonnes suivant le principe de premier arrivé, premier servi, a annoncé le chef du département en charge du Commerce.
Au cours des échanges, le Conseil a félicité le gouvernement pour ses efforts dans le cadre de la stabilisation des prix et du suivi de l’approvisionnement régulier du pays en produits de première nécessité en général et en sucre en particulier. Le ministre Mahmoud Ould Mohamed a notamment remercié les opérateurs économiques pour leur sens de patriotisme pour avoir renoncé à une partie substantielle de leur marge commerciale.
Il a également salué les consommateurs pour leur résilience face aux effets des crises multiformes que connaît le Mali.
Ce réajustement intervient une semaine après que le même Conseil a fixé à 600 Fcfa le kilo du sucre importé et à 500 Fcfa celui local qui est pourtant introuvable sur le marché depuis des semaines.
Ce prix consensuel était respecté en certains endroits, pendant que d’autres commerçants détaillants continuaient à céder le kilo entre 650 et 700 Fcfa. Cela, malgré l’intensification des activités des brigades de contrôle de la direction générale du commerce, de la consommation et de la concurrence. Toute chose qui pourrait expliquer cet ajustement.
Fadi CISSE
Semoirs, charrues de labour, pièces de rechange des tracteurs sont fabriqués par nos artisans. La plupart de ces équipements sont vendus dans les zones de production comme Kita, Sikasso, Bougouni ou Koutiala. Certains fabricants arrivent aussi à écouler leurs produits dans des pays voisins.
Placée sous le thème : « Jeunesse engagée : apprendre et innover pour relever les défis de l’employabilité des jeunes du Mali », la 16ᵉ convention groupée de la zone 4 (Z4) de la Jeune Chambre Internationale (JCI) du Mali s’est tenue samedi dernier, au Centre de formation des collectiv.
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5.000 emplois verts potentiels à identifier, trois propositions de politiques publiques à rédiger et un guide sectoriel à produire. Ce sont quelques objectifs phares du projet «Initiative pour promouvoir l’économie verte et la création d’emplois verts au Mali», officiellement lancé, mer.
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