
La cérémonie de remise
des deux chèques s’est déroulée au siège de la fédération, en présence des présidents
des deux associations, Oumar Baba Traoré et Souleymane Diabaté. La presse
sportive a reçu un chèque de 10 millions de Fcfa, contre la moitié pour les
supporters. «Nous sommes très touchés par ce geste de la Fédération
malienne de football.
La presse sportive nationale a besoin d’aide pour une bonne couverture de la CAN», a exprimé le président de l’AJSM, Oumar Baba Traoré. Le premier responsable des supporters, Souleymane Diabaté a également témoigné sa reconnaissance à l’instance dirigeante du football national et exhorté tous les acteurs du football à se mobiliser et faire bloc derrière les Aigles. Les deux chèques ont été remis par le président de la Femafoot, Mamoutou Touré «Bavieux».
Djeneba BAGAYOGO
La séance de rattrapage continue pour le Stade malien et le Djoliba. Après leurs victoires face, respectivement à Binga FC (4-0) et au FC Diarra (1-0), dimanche dernier, en clôture de la 12è journée du championnat professionnel, Ligue 1 Orange, le Stade malien et le Djoliba jouent à nouveau c.
La 4è journée du championnat national de foot féminin démarre cet-après midi, avec comme tête d’affiche, la confrontation entre l’AS Mandé (2è, 6 points) et l’AS Police (4è, 3 points) qui aura pour cadre le terrain municipal de Djélibougou..
Larges vainqueurs 4-0 de Binga FC, dimanche au stade Mamadou Konaté, les Blancs de Bamako ont mis fin à une dynamique négative et se sont hissés à la 8è place du classement avec 13 points. De son côté, le Djoliba s’est imposé par le strict minimum face au FC Diarra.
En collaboration avec la Fédération malienne de football (Femafoot), le Club des internationaux maliens de football (CIMFOOT) organise, depuis hier, une session de formation à l’intention des techniciens qui dirigent des équipes de D2 et D3..
La Fédération malienne de taekwondo (FEMAT) enchaîne les compétitions. Samedi dernier, elle a organisé la première compétition nationale des cadets qui a regroupé une centaine de jeunes combattants..
D’un côté il y avait Bougouni (une petite case en bambara) et de l’autre, Bougouba (une grande case). Si l’on ne devrait s’en tenir qu’à la traduction littérale des deux noms, le rapport de force est déséquilibré et penche du côté de Bougouba..