Une rencontre
qui marque une étape importante dans le processus de relance de la structure,
en vue de permettre aux Petites et moyennes entreprises et aux Petites et moyennes industries (PME/PMI)
d’optimiser l’utilisation de leurs ressources opérationnelles et techniques.
Cette session a vu la participation du secrétaire général du ministère des
Mines, Soussourou Dembélé, du 3è vice-président du Conseil national du patronat
du Mali (CNPM), Sidi Dagnoko et du directeur du BSTP-Mali, Ibrahima Koïta.
La BSTP
œuvre à faciliter le rapprochement entre les donneurs d’ordre «Grandes
entreprises», les entreprises sous-traitantes et fournisseurs des biens et
services (PME/PMI). Elle a été créée par le Conseil national du patronat du
Mali (CNPM) en juillet 2011. Aujourd’hui, la structure offre une opportunité
pour l’ensemble des opérateurs économiques d’améliorer leurs performances et la
qualité de leurs services afin de se positionner sur les marchés national,
régional et international. En d’autres termes, «c’est une opportunité pour les
acteurs du secteur privé de booster la croissance des entreprises nationales et
le développement économique», a spécifié le représentant du ministère des
Mines, Soussourou Dembélé.
Selon son
directeur, la BSTP est un centre technique d’information, de promotion de la
sous-traitance, du partenariat et du développement du contenu local dans tous
les secteurs stratégiques de l’économie. Elle vise à faciliter les échanges
d’affaires entre les acteurs nationaux et internationaux et à réaliser des
enquêtes sur les possibilités de sous-traitance et de partenariat stratégique,
technique et commercial. «La structure prévoit plusieurs actions comme la
labellisation des entreprises, le recensement diagnostic des PME/PMI, la
conception de la plateforme numérique d’intermédiation», a annoncé Ibrahima
Koïta. Autres ambitions affichées : l’élaboration de la charte nationale
de la sous-traitance du partenariat au Mali et l’organisation d’un forum sur le
financement de la sous-traitance et du contenu local au Mali.
Cette 1ère
session du comité de pilotage vise, selon le 3è vice-président du CNPM, à
créeer une dynamique économique dans notre pays. «Il faut plus de croissance,
d’investissement, d’emplois et d’impôts, parce que quand l’économie marche pour
le privé, c’est surtout bon pour l’État», a déclaré Sidi Dagnoko, soulignant
que ce lancement de la Bourse de sous-traitance est la matérialisation d’un
partenariat avec les autorités publiques, les entreprises qui vont donner des
ordres et celles qui fourniront des prestations.
En outre, Sidi Dagnoko a indiqué que la BSTP-Mali a une vision qui va au-delà du secteur minier. «Nous voulons que cette structure puisse s’occuper de l’identification des potentialités, mettre en route les bonnes stratégies pour le contenu local et qu’elle puisse travailler en collaboration avec les organisations internationales», a-t-il fait savoir, convaincu que l’opérationnalisation de cet instrument est un nouveau départ pour de bons résultats.
Fatoumata Mory SIDIBE
Les résultats provisoires du recensement général agricole (RGA) donnent des chiffres probants d’environ 22,49 millions de bovins, plus de 23,60 millions d'ovins et 22,20 millions de caprins recensés..
Dans ce business, les cambistes n’ont pas d’état d’âme. Les commissions prélevées dans les échanges de vieux billets en précieux «craquants» peuvent aller de 10 à 20 %. Par exemple pour échanger 100.000 Fcfa, le client peut perdre jusqu’à 20.000 Fcfa.
L’École supérieure de journalisme et des sciences de la communication, (ESJSC), a tenu, hier, la 9° session de son conseil d'administration. L’ouverture des travaux a été presidée par la representante du ministre de l’Enseignement superieur et de Recerche scientifique, Mme Coulibaly Fan.
En 2025, le Fonds d’appui à la formation professionnelle et à l’apprentissage (Fafpa) a financé 46 plans et projets de formation au profit de 1.422 agents et actifs, dont 853 femmes des entreprises, associations et groupements professionnels..
En 2026, la Caisse nationale d’assurance maladie (Canam) entend renforcer sa performance opérationnelle, la qualité des services rendus aux assurés, mais aussi améliorer la bonne gouvernance et maîtriser les risques..
Cette institution de formation supérieure a administré la preuve par la qualité. En tout cas, elle fait aujourd’hui autorité dans le domaine de l’enseignement supérieur privé.