
C’était en présence du ministre de la Défense et des Anciens Combattants, des chefs d’état-major et directeurs de services ainsi que les parents et proches du défunt.
Né le 15 juillet 1961 à Bougouni, Feu lieutenant-colonel Moussa Traoré a été incorporé comme engagé volontaire à l'Armée de l'Air, le 1er juillet 1984. À la fin de sa formation commune de Base (CI), il est affecté à la Base aérienne 100 de Bamako, puis détaché, le 02 juillet 1996 à Gao. Avant d’être affecté, le 22 juillet 1999 à la Base Aérienne 101 de Sénou.
Élément très discipliné, travailleur et sérieux qui, par son dévouement et son ardeur au travail, s’est fait distinguer, en suivant avec succès ces différentes formations, entre autres, le CAT1 en juillet 1985, le CAT2 en 1986, de 1987 à 1991.
Il a également suivi une formation de technicien supérieur en mécanique en Russie, le CIA spécial en 1993, avec obtention cette même année d’un brevet au Maroc ; en cours spécial des techniciens de l'Air et des cours de perfectionnement Officier.
Il compte à son actif plusieurs missions à l'extérieur du pays dans l'équipage Basler BT-67 et AN-26, les missions d'épandage dans le secteur de Nioro, Tombouctou et Sévaré dans le cadre de la lutte contre les criquets pèlerins et les oiseaux migratoires, une mission onusienne en République démocratique du Congo, avant sa participation aux opérations « Djiguitougou », « Maliba », « Badenko » et « Maliko ».
Par son courage et son amour pour le métier des armes, il a occupé plusieurs fonctions qui sont, le commandant d'unité de l'Escadron de Base en 2012, en 2013, commandant d'unité Groupement de défense aérienne N°2, chef Division infrastructure par intérim à l'état-major de l'Armée de l'Air pour compter du 08 juin 2023, entre autres.
Ce qui lui a valu les médailles commémoratives de Campagne, de Mérite Militaire, des Nations Unies et de Sauvetage. Le lieutenant-colonel Moussa Traoré, arraché à notre affection, laisse derrière lui une veuve et sept orphelins.
Souleymane SIDIBE
Un record historique pour la musique africaine francophone. Notre compatriote Fatoumata Diawara vient de franchir la barre des 407 millions de streams, faisant d’elle l’artiste féminine francophone africaine la plus écoutée au monde.
La perception des frais de déplacement ou motivation ou de façon plus prosaïque «per diem», le manque de formation adéquate, la baisse de niveau des journalistes et le manque de moyens financiers des structures médiatiques nuisent fatalement à l’image de la presse malienne.
Dans le cadre des opérations de surveillance aérienne et sur la base de renseignements précis, les Forces armées maliennes ( FAMa ) ont pris en filature et traité un véhicule Pick-up, ce jeudi 18 septembre, à Yenchechi dans la Région de Kidal.
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En prélude de la Biennale artistique et culturelle Tombouctou 2025, la Semaine régionale de Gao ou phase régionale a démarré, lundi au Stade Kassé Keïta, sous la présidence du directeur de cabinet du gouverneur de la 7è circonscription administrative du Mali, Mamadou Diakité..