La clôture des travaux a eu lieu le 30 septembre
La cérémonie de lancement qui s’est déroulée le 23 septembre, était présidée par le gouverneur de la région, le Colonel Lamine Kapory Sanogo. Pendant une semaine, les troupes des cercles ont rivalisé de talent dans les différentes disciplines de la Biennale : la pièce de théâtre, le solo de chant, l’ensemble instrumental, la danse traditionnelle et l’orchestre.Au classement général, le Cercle de Kati s'est taillé la première place avec 79, 80/120. Il est suivi du Cercle de Kolokani avec 70, 30 et celui de Banamba 75, 12.
«Cet espace traduit la volonté du Président de la Transition de mettre la culture au cœur des stratégies du processus de développement de notre pays, socle sur lequel se fondent l'organisation et le fonctionnement de la société malienne. Il nous a permis de faire un examen de conscience à travers plusieurs disciplines. Également de se rappeler des valeurs comme l'entente, la paix, l'unité nationale, qui sont aujourd'hui une préoccupation nationale», a déclaré le directeur de cabinet du gouverneur, Mohamar Haïdara, lors de la cérémonie de clôture.
Selon lui, l'objectif fixé par les autorités, à savoir le brassage, l'interpénétration des communautés, est largement atteint. «Pendant une semaine nous avons côtoyé le réservoir culturel régional, vibré au rythme de notre identité», s'est-il réjoui. Face aux dangers qui menacent ces valeurs, Mohamar Haïdara a invité les Maliens à se ressaisir en préservant l'essentiel, c'est à dire notre culture.
Il a beaucoup insisté pour dire que cette activité culturelle permet l'instauration d'un dialogue entre les cultures, la découverte des jeunes talentueux, la confiance entre les acteurs, un meilleur engagement au service de la communauté. Le représentant du gouverneur a remercié les délégations, la commission d'organisation, les collectivités pour leur détermination, leur engagement et leur contribution appréciable. Il faut noter que la phase nationale Biennale artistique et culturelle aura lieu en décembre prochain à Tombouctou.
Amadou Libo DIARRA / AMAP - Koulikoro
Depuis bientôt un mois, le maître chorégraphe, Karim Togola, assisté de deux professeurs de danse du Conservatoire des arts et métiers multimédia Balla Fasséké Kouyaté, Abdoulaye Koné et Dramane Sidibé, sont à pied d’œuvre pour la construction du ballet de la cérémonie d’ouverture.
Le directeur de cabinet du gouverneur de la Région de Ségou, Boureïma Ongoïba, a présidé, vendredi dernier, la cérémonie de lancement des activités commémoratives de la Journée de la jeunesse africaine, édition 2025..
Le parrain du mois dans le cadre de l’Année de la culture a expliqué clairement lors de la rencontre la nécessité de créer pour être visible dans le monde. Il a aussi invité les créateurs à s’inspirer de notre patrimoine musical, textile ou architectural pour bâtir des produits culture.
Si au départ le «Festival Rendez-vous chez nous» était concentré sur les masques et marionnettes, force est de constater que l’événement s’est beaucoup développé. De nos jours, il est devenu plus éclectique avec une programmation riche et variée, allant de la musique à la danse moder.
Lauréate du concours national de la photographie, elle œuvre depuis plusieurs années pour inoculer le virus de son métier aux femmes.
Dans le cadre de la célébration de l’Année de la culture 2025, la Bibliothèque nationale du Mali a abrité, hier, une conférence du parrain du mois d’octobre, couplée à une cérémonie de remise d’attestations aux familles donatrices de livres. L’ancien ministre chargé de la Culture .