
L’édition de cette année a été lancée hier au Parc des expositions de Bamako par le Premier ministre Choguel Kokalla Maïga et son homologue burkinabè Apollinaire Joachim Kyélem de Tambèla. Le grand chapiteau dressé à l’occasion a accueilli aussi une centaine d’invités dont des membres des gouvernements du Mali et du Burkina, des artisans et des encadreurs professionnels.
Le ministre de l’Artisanat, de l’Industrie hôtelière et du Tourisme, Andogoly Guindo et le président de l’Assemblée permanente des
chambres de métier du Mali (APCMM), Mamadou Minkoro Traoré, ont tous mis l’accent sur l’importance de la 4è édition du Siama qui rassemble plus de 1.000 artisans venus de pays et d’Afrique.
La forte délégation
du Premier ministre burkinabè comprenant 13 ministres atteste de l’intérêt que
ce pays voisin accorde à ce Salon, dont il est
l’invité d’honneur. Deux conventions vont être signées au cours du Salon.
La
première est relative à la coopération entre le Siama et le Salon
international de l’artisanat de Ouagadougou (Siao). La seconde convention concrétisera
l’entente entre les Chambres de
métiers des deux pays frontaliers. Nous y reviendrons dans notre prochaine édition.
Youssouf DOUMBIA
Un artiste plasticien à la une : ainsi peut on dire du parrain de l’année de la culture pour ce mois de juillet. Pur produit de l'Institut national des arts (INA) de Bamako, Boubacar Doumbia est à l’initiative géniale de la création d’une entreprise d'artisanat à Pélengana (Commune ru.
L’année 2024 a été marquée par le 30è anniversaire de la société. Et malgré une légère baisse des recettes, le résultat net est satisfaisant et reste dans la fourchette des trois dernières années.
«Bini Bana», littéralement on n’échoue plus. Pour le jeune réalisateur, Zaidou Coulibaly, ce long-métrage de 90 minutes est à la lisière du documentaire et de la fiction. Le cinéaste a rencontré la presse, mardi dernier à la Maison des jeunes, pour annoncer la sortie officielle de ce fi.
Ces journées proposeront des projections de films emblématiques, une exposition des photos et trophées retraçant sa carrière ainsi que des conférences-débats. Un monument sera bientôt érigé à Bamako avec la statue du cinéaste.
Le réalisateur et ancien ministre Cheick Oumar Sissoko propose avant tout de remettre notre secteur cinématographique et audiovisuel sur pied, en privilégiant la gouvernance sur différents aspects. Il suggère de fusionner les deux entités qui gèrent actuellement le cinéma (CNCM et le FAIC).
Le Bureau malin du droit d’auteur (Bumda) a choisi la veille de la fête de Tabaski, période de grandes dépenses pour les chefs de famille, pour exprimer sa solidarité à l’endroit d’une quarantaine d’artistes..