L’entraide, la solidarité et le vivre-ensemble sont le ciment de notre société
La
cérémonie présidée par le 1er adjoint au préfet, Ibrahima Dougnon, a regroupé
les chefs des services du développement social, Boubacar Dioni, et de la
promotion de la femme, Amadou Dembélé, le directeur du Centre d’animation
pédagogique (CAP) de Kolondièba, Abdoulaye Diarra, le chef du Cantonnement
forestier, Youssouf Théra, les représentants de la Cafo, de la jeunesse, des
radios de proximité et du Recotrade.
Dans
la ville de Kolondieba, 11 personnes âgées ont reçus des sacs de riz, du spaghetti, des tapis de prière, des
bouilloires, des chapelets et des enveloppes symboliques. Le 1er adjoint au
préfet a salué ce geste de l’ONG Kôrôsso dans le cadre du mois d’octobre dédié
à la solidarité par les autorités. L’entraide, la solidarité et le
vivre-ensemble sont le ciment de notre société traditionnelle, a expliqué
Ibrahim Dougnon. Et de rappeler que le thème de cette année est intitulé :
«Solidarité dans la diversité culturelle, base d’une société inclusive». Le 1er
adjoint au maire de la Commune de Kolondièba, Moussa S. Koné, a félicité l’ONG
Kôrôsso pour cette initiative de solidarité en faveur des personnes âgées. Pour
lui, ce geste soulage la mairie parce que c’est une activité que les
collectivités doivent menées. Et de soutenir que l’ONG Kôrôsso vient d’enlever
une grosse épine du pied de la mairie.
Le
chef de service du développement social et de l’économie solidaire a remercié
l’Organisation pour sa bonne collaboration, l’administration, les collectivités
pour la disponibilité. Le secrétaire aux relations extérieures, Mamadou Koné,
au nom de la présidente Mme Koné Mariam Koné, a félicité les autorités
administratives, la mairie et le service du développement social pour leur accompagnement
pour la réussite de cette cérémonie. Les
personnes âgées ont besoin de chaleur, de soutien moral d’où le nom de Kôrôsso
(maison de la vieillesse). Selon lui, son organisation n’entend pas s’arrêter
là, parce qu’elle a prévu d’autres actions en faveur d’autres couches
vulnérables.
Le porte-parole des bénéficiaires, Mamary Koné, a félicité les autorités, l’administration, les collectivités, l’organisation pour cette marque de considération à l’endroit des personnes âgées.
Nouhoum Mamadou Koné / AMAP - Kolondièba
La rencontre de Bamako va permettre de mettre en place les organes dirigeants de la BCID-AES, valider les textes fondateurs tout en veillant à la disponibilité des moyens techniques, financiers, juridiques et humains nécessaires à son développement.
À la place des statues des explorateurs et des gouverneurs du Soudan français, se trouvent désormais celles des résistants à la pénétration coloniale et des figures emblématiques de notre Armée.
Il est bien loin ce temps où Radio Mali et L’Essor mobilisaient seuls tous les sens des citoyens maliens et façonnaient l’opinion. Jusqu’en 1983, lorsqu’ils furent rejoints par la télévision nationale. La nouvelle venue ne faisait qu’agrandir la famille des «médias publics»..
Dans un environnement informationnel en constante mutation, démêler le vrai du faux est devenu un enjeu majeur. Et ce combat contre la désinformation nécessite obligatoirement le respect des principes du journalisme..
Les médias traditionnels ou classiques prennent le temps de recouper l’information avant de la diffuser. Tel n’est pas forcément le cas des nouveaux acteurs du métier appelés «vidéoman» qui, à la recherche de buzz et de sensation forte pour se faire plus d’audience, tombent facilement .
Dans les lignes qui suivent, nos deux interlocuteurs se sont prononcés sur les rôles de l’Essor et de l’ORTM dans l’ancrage institutionnel de notre pays, leur adaptation à l’évolution numérique, les défis et la contre-attaque dans le cadre de la guerre informationnelle.
