Leurs besoins en vivres et en non vivres pour une consommation de 3 mois sont estimés à 88.372.500 Fcfa
De ce fait,
une cagnotte a été ouverte pour recueillir les contributions et sur place,
8.950.000 Fcfa ont été mobilisés. Certaines personnes de bonne volonté, des
associations et des sociétés minières ont fait des promesses de don.
D’après
les statistiques fournies par les services du développement social et de la
protection civile, la commission a enregistré 13 cas d’inondation, dont 5 cas
dans le Cercle de Bafoulabé, 2 dans le Cercle de Oussoubidiagna, 5 dans le
Cercle de Yélimané et un dans le Cercle de Kayes. La région compte ainsi 3.085
sinistrés vivant dans 324 ménages. Leurs besoins en vivres et en non vivres
pour une consommation de 3 mois sont estimés à 88.372.500 Fcfa.
Le
gouverneur de la Région de Kayes, le général de brigade Moussa Soumaré, a
rappelé que le gouvernement a, à l’issue du conseil des ministres
extraordinaire du vendredi 23 août 2024, décrété l’état de catastrophe
nationale et annoncé la mobilisation de 4 milliards Fcfa pour faire face aux
conséquences des inondations, renforcer le Stock national de sécurité et
apporter l’assistance nécessaire aux ménages touchés.
Dans une
correspondance datant du 27 août 2024, le ministre de l’Industrie et du
Commerce a saisi, à travers le ministre de l’Administration territoriale et de
la Décentralisation, l’ensemble des gouverneurs de région et du district de
Bamako, pour les informer de l’organisation d’une réunion de sensibilisation
des membres du bureau de la Chambre de commerce et d’industrie du Mali (CCIM),
au siège de cette organisation, sur la situation des inondations dans notre
pays.
D’après le
ministre Moussa Alassane Diallo, cette rencontre a recommandé
l’organisation de réunions de sensibilisation des opérateurs économiques dans
toutes les régions administratives du Mali par les présidents des délégations
régionales de la Chambre de commerce et d’industrie du Mali, en collaboration
avec les gouverneurs de région et du District de Bamako.
«La correspondance du
ministre de l’Industrie et du Commerce est très explicite. Il est demandé aux
acteurs du secteur privé de toutes les régions et du District de Bamako
d’apporter des contributions afin de venir en aide aux sinistrés suite aux
inondations. Cela afin de soutenir les efforts du gouvernement pour soulager
les familles victimes de ces inondations», a expliqué le général Moussa
Soumaré, en situant l’événement dans son contexte.
Bandé Moussa SISSOKO / AMAP - Kayes
Pour l’exercice 2026, l’Agence malienne de presse et de publicité (Amap) prévoit un budget de plus de 2,510 milliards de Fcfa contre plus de 2,462 milliards de Fcfa en 2025, soit une augmentation de 1,01% pour un montant de près de 50 millions de Fcfa..
Hamadoun Ousmane Bocoum, expert en finance, développement économique et transformation stratégique, vient de publier chez L’Harmattan, son tout premier livre intitulé «Le système financier malien à l’épreuve des crises : une décennie de résistance». En prélude au lancement prévu dem.
L’Association pour le développement et l’appui aux communautés (ADAC), une ONG, a procédé, mardi dernier, au lancement de son projet Renforcer la résilience des populations vulnérables par le lien entre l’aide humanitaire, le développement durable et la consolidation de la paix (RPV-GRN.
Le Centre pour le développement du secteur agroalimentaire (CDA) a tenu, hier au ministère de l’Industrie et du Commerce, la 7è session ordinaire de son conseil d’administration. La réunion a été présidée par le chef de cabinet de ce département, Bréhima Féfé Koné, en présence du d.
Malgré les difficultés rencontrées en 2025, notamment le retrait de certains partenaires et l’insuffisance de financement de la recherche agricole, l’Institut d’économie rurale (IER) a su maintenir son dynamisme, grâce à la résilience et à l’engagement de ses chercheurs..
La 30è session ordinaire du conseil d’administration du Centre national des œuvres universitaires (Cenou) s’est tenue, hier dans sa salle de conférences. La session a été présidée par le secrétaire général du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Pr.