Trois affaires de violation de consignes, détournement d'armes, de munitions de guerre et recel, d'injures sur les réseaux sociaux impliquant une vingtaine d'accusés doivent être jugées lors de cette session correctionnelle qui vient de débuter. Les audiences correctionnelles s’étendront sur une journée ou plus. Les tribunaux militaires ont pour vocation de juger les infractions de droit commun commises par les militaires dans les services, les casernes, quartiers, etc. Ces juridictions spécialisées existent pour le moment à Kayes, Mopti et Bamako.
Tamba CAMARA
Il escaladait nuitamment les murs d’enceinte des domiciles de ses victimes qu’il menaçait toujours avec une arme blanche. La chance a fini par l’abandonner.
À la suite d’une banale dispute entre deux amis du même groupe, l’un a mortellement poignardé l’autre avant de s’enfuir. Il a été interpellé et remis à la justice.
Ils l’ont poursuivi nuitamment jusqu’à son domicile et ont tiré sur lui à bout portant avant de s’évaporer dans la nature.
Les quatre présumés auteurs de l’affaire dite de viol collectif de la petite Tenin Keïta connaissent désormais leur sort. Les juges de la Cour d’assises de Bamako leur ont infligé mardi dernier, une peine de 10 ans de réclusion criminelle chacun. Le quartuor est composé de Gagny Coulibaly.
En milieu de semaine dernière, les juges avaient sous la main les dossiers de quatre coupeurs de route : Sékou Hamadoun Diagouraga, Amadou Barry, Moussa Barry et Bourama Bolly. Ce quatuor était inculpé pour des faits « d’association de malfaiteurs, vol qualifié, détention illégale d’arme.
Les maisons en chantier sont les sites préférés de certains ouvriers pour commettre des agressions sexuelles à l’endroit des filles surtout les vendeuses ambulantes..