Mahamadou Tidiane Touré, le nouveau président
Il aura la lourde tâche de consolider les acquis engrangés par
le bureau sortant et faire face à de nombreux défis dans un contexte caractérisé
par la rareté des investissements. La cérémonie d’ouverture des travaux de cette Assemblée était
placée sous la présidence du représentant de la ministre des Transports et des
Infrastructures, Cheick Oumar Diallo. C’était en présence du président sortant
du Conseil de l’OICM, Arbonkana Maïga et de plusieurs ingénieurs conseils.
Outre le renouvellement du Conseil et de la Chambre
disciplinaire, d’autres points étaient à l’ordre du jour, notamment l’examen du
rapport d’activités du Conseil en fin de mandant, de l’état d’exécution du
programme d’activités et du budget 2022-2023.
À l’ouverture des travaux, le président sortant du Conseil
des ingénieurs a tenu à préciser que le mandat 2020-2023 a été caractérisé par
un contexte de transition politique avec la rareté des investissements et un
climat sécuritaire qui ont impacté l’OICM. «Les ingénieurs conseils, en tant
qu’acteurs majeurs du développement, prennent toute la mesure de la situation
du Mali caractérisée par la rareté des investissements dans le secteur et l’insécurité
entravant le développement des infrastructures», a-t-il déclaré. Arbonkana Maïga
a interpellé le ministère de tutelle sur la situation des ingénieurs conseils
qui subissent de plein fouet les conséquences négatives de la situation.
Pour le représentant du ministre des Transports et des
Infrastructures, les défis de la profession sont nombreux et variés. Il a cité,
entre autres, le renforcement du soutien institutionnel, la préservation de la
confiance des autorités dans le cadre de la participation à l’exécution de la
commande publique et la qualité des services rendus au maitre d’ouvrage. Pour
relever ces défis, Cheick Oumar Diallo a invité les acteurs à être plus
solidaires et engagés en cette période de difficultés diverses et de rareté des
ressources pour l’investissement.
L’ordre des ingénieurs conseils du Mali est un établissement public à caractère professionnel créé le 20 mai 1997. Il a pour mission de veiller à l’observation par ses membres de leurs devoirs professionnels et du code de déontologie, de contribuer à la promotion de l’ingénierie et d’assister les pouvoirs publics. Le conseil a un mandat de deux ans renouvelables une fois.
Fatoumata Mory SIDIBE
Pour l’exercice 2026, l’Agence malienne de presse et de publicité (Amap) prévoit un budget de plus de 2,510 milliards de Fcfa contre plus de 2,462 milliards de Fcfa en 2025, soit une augmentation de 1,01% pour un montant de près de 50 millions de Fcfa..
Hamadoun Ousmane Bocoum, expert en finance, développement économique et transformation stratégique, vient de publier chez L’Harmattan, son tout premier livre intitulé «Le système financier malien à l’épreuve des crises : une décennie de résistance». En prélude au lancement prévu dem.
L’Association pour le développement et l’appui aux communautés (ADAC), une ONG, a procédé, mardi dernier, au lancement de son projet Renforcer la résilience des populations vulnérables par le lien entre l’aide humanitaire, le développement durable et la consolidation de la paix (RPV-GRN.
Le Centre pour le développement du secteur agroalimentaire (CDA) a tenu, hier au ministère de l’Industrie et du Commerce, la 7è session ordinaire de son conseil d’administration. La réunion a été présidée par le chef de cabinet de ce département, Bréhima Féfé Koné, en présence du d.
Malgré les difficultés rencontrées en 2025, notamment le retrait de certains partenaires et l’insuffisance de financement de la recherche agricole, l’Institut d’économie rurale (IER) a su maintenir son dynamisme, grâce à la résilience et à l’engagement de ses chercheurs..
La 30è session ordinaire du conseil d’administration du Centre national des œuvres universitaires (Cenou) s’est tenue, hier dans sa salle de conférences. La session a été présidée par le secrétaire général du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Pr.