
Dr Moumouni Guindo (g) et Pr Mamoudou Samassékou après la signature des documents
Conclue pour une durée de trois ans avec une possibilité de renouvellement, cette convention vise à trouver l’équilibre entre la lutte contre la corruption et la protection des droits fondamentaux des individus.
L’APDP a pour mission de garantir la protection des données personnelles. Cette mission est essentielle dans un contexte où la collecte et le traitement des données sont incontournables pour lutter contre l’enrichissement illicite. D’où l’intérêt de cette convention articulée autour de trois axes : le «renforcement de la coopération», la «sensibilisation et l’éducation» et le «partage d’expériences et le renforcement des capacités». Les actions conjointes qui découleront de cette collaboration devraient avoir un impact significatif sur la promotion de la transparence et le respect des lois au bénéfice de tous les citoyens.
En effet, selon le président de l’APDP, le premier axe permettra aux deux structures «d’unir leurs efforts pour mettre en place des actions communes et développer des initiatives visant à promouvoir la culture de protection des données personnelles et la transparence», a développé le président de l’APDP. Concernant le deuxième axe, a poursuivi le Pr Mamoudou Samassekou, un accent particulier sera mis sur la sensibilisation du grand public sur les enjeux de la protection des données et de la lutte contre la corruption à travers des campagnes conjointes. Et le dernier axe prévoit le renforcement des capacités à faire face aux défis actuels et futurs.
Le président de l’OCLEI, Dr Moumouni Guindo, s’est appesanti sur l’étroitesse des liens qui existent entre son service et l’APDP. Lesquels liens devraient demeurer dans la mesure où il y a une large plage de convergences entre leurs missions. «Les facteurs de convergence sont naturellement les données personnelles, qui font partie des outils que manipule l’OCLEI», a déclaré le président de l’Office, soulignant que la déclaration des biens renferme des informations personnelles. Aussi, les enquêtes que font les agents de l’OCLEI ont également un lien avec les données personnelles.
Issa DEMBELE
Semoirs, charrues de labour, pièces de rechange des tracteurs sont fabriqués par nos artisans. La plupart de ces équipements sont vendus dans les zones de production comme Kita, Sikasso, Bougouni ou Koutiala. Certains fabricants arrivent aussi à écouler leurs produits dans des pays voisins.
Placée sous le thème : « Jeunesse engagée : apprendre et innover pour relever les défis de l’employabilité des jeunes du Mali », la 16ᵉ convention groupée de la zone 4 (Z4) de la Jeune Chambre Internationale (JCI) du Mali s’est tenue samedi dernier, au Centre de formation des collectiv.
Ils sont 512 déplacés provenant des régions les plus affectées par la crise sécuritaire à trouver refuge au Centre Mabilé, au cœur de la capitale malienne. Bien qu'insuffisant, le soutien des acteurs humanitaires locaux et internationaux réconforte ces sinistrés Situé en Commune VI du D.
5.000 emplois verts potentiels à identifier, trois propositions de politiques publiques à rédiger et un guide sectoriel à produire. Ce sont quelques objectifs phares du projet «Initiative pour promouvoir l’économie verte et la création d’emplois verts au Mali», officiellement lancé, mer.
Le constat a été fait par le ministre des Mines, Amadou Keïta, qui a visité les lieux la semaine dernière.
La 5è session du comité de pilotage du Programme de développement de la zone spéciale de transformation agro-industrielle des Régions de Koulikoro et péri-urbaine de Bamako (PDZSTA-KB) s’est tenue, hier, dans les locaux du ministère de l’Agriculture..