La photo de famille des participants à la rencontre
Un atelier national de validation de la Stratégie nationale de sécurité climatique et son plan d’actions s’est ouvert, hier dans un hôtel de la capitale. Durant trois jours, les acteurs du climat qui sont, entre autres, les membres du comité technique et des institutions nationales en charge du climat, de l’environnement et de la sécurité, vont échanger sur la sécurité climatique et ses axes stratégiques. Ils identifieront également les activités à entreprendre pour la mise en œuvre de la Stratégie.
Le secrétaire général du ministère en charge de l’Environnement, Moussa Diarra, a fait savoir que la Stratégie nationale de sécurité climatique vise à établir une approche intégrée et concertée pour mieux anticiper, atténuer et répondre aux impacts du climat sur la sécurité et la stabilité sociale. Elle constituera, selon lui, un cadre de référence pour une action cohérente et efficace du gouvernement, des collectivités territoriales, des organisations de la société civile et des partenaires au développement.
Présente au Mali depuis plus de 30 ans, la Coopération belge contribue à la promotion d’une croissance durable, inclusive et créatrice d’emplois, à l’instauration de la paix et de la sécurité et à la lutte contre la pauvreté, a affirmé l’ambassadeur de la Belgique au Mali. Patrick Deboeck s’est réjoui que son pays ait contribué à doter le Mali d’un document stratégique pour s’attaquer aux défis liés au changement climatique et en particulier au nexus «climat, paix et sécurité».
La secrétaire exécutive de l’Autorité du Liptalo-Gourma (ALG), Hawa Aw, a souligné que la sécurité climatique représente un problème transfrontalier et requiert une synergie d’actions efficaces et efficiences. Ainsi, l’ALG depuis quelques années s’est fortement engagée dans la lutte contre le changement climatique qui provoque de graves atteintes à la vie des communautés vulnérables à travers des programmes et projets structurants pour le renforcement de la résilience des communautés.
Quant au représentant résident adjoint du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), Roland Seri, il a rassuré que son organisation continuera son accompagnement pour l’opérationnalisation effective de cette stratégie, plus spécifiquement sur les questions liées aux financements qui demeurent un grand défi pour la mise en œuvre du plan d’actions.
Anne Marie KEITA
Pour l’exercice 2026, l’Agence malienne de presse et de publicité (Amap) prévoit un budget de plus de 2,510 milliards de Fcfa contre plus de 2,462 milliards de Fcfa en 2025, soit une augmentation de 1,01% pour un montant de près de 50 millions de Fcfa..
Hamadoun Ousmane Bocoum, expert en finance, développement économique et transformation stratégique, vient de publier chez L’Harmattan, son tout premier livre intitulé «Le système financier malien à l’épreuve des crises : une décennie de résistance». En prélude au lancement prévu dem.
L’Association pour le développement et l’appui aux communautés (ADAC), une ONG, a procédé, mardi dernier, au lancement de son projet Renforcer la résilience des populations vulnérables par le lien entre l’aide humanitaire, le développement durable et la consolidation de la paix (RPV-GRN.
Le Centre pour le développement du secteur agroalimentaire (CDA) a tenu, hier au ministère de l’Industrie et du Commerce, la 7è session ordinaire de son conseil d’administration. La réunion a été présidée par le chef de cabinet de ce département, Bréhima Féfé Koné, en présence du d.
Malgré les difficultés rencontrées en 2025, notamment le retrait de certains partenaires et l’insuffisance de financement de la recherche agricole, l’Institut d’économie rurale (IER) a su maintenir son dynamisme, grâce à la résilience et à l’engagement de ses chercheurs..
La 30è session ordinaire du conseil d’administration du Centre national des œuvres universitaires (Cenou) s’est tenue, hier dans sa salle de conférences. La session a été présidée par le secrétaire général du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Pr.